Maison de la recherche en sciences humaines (MRSH) de l'université de Caen Normandie

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Des goûts de lutte

Cycle documentaire fresh « Film et Recherche en Sciences Humaines et sociales » (FRESH) travaille les résonances entre création en cinéma documentaire et recherche en sciences humaines et sociales, dans…

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Décès de Mr. André Zysberg

Mr. André Zysberg nous a quitté le 8 décembre 2024. Mr. Zysberg, spécialiste d’histoire maritime à l’époque moderne, professeur émérite de l’université de Caen Normandie était agrégé d’histoire et docteur…

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Pensées économiques européennes de l’héritage au XXe siècle 

APPEL À COMMUNICATIONS Université de Strasbourg – BETA Jeudi 5 juin 2025 La journée d’étude « Pensées économiques européennes de l’héritage au XXe siècle » se tiendra le jeudi 5 juin au Bureau d’économie théorique et appliquée (BETA),…

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Bibliothèque numérique Paroles de normands

Depuis 2019, une équipe de chercheurs en histoire et en linguistique de l’université de Caen Normandie, du CNRS, et de la Fabrique de patrimoines en Normandie s’est rassemblée à la…

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L’autre Débarquement : les correspondants de guerre en Normandie

L’Autre débarquement est un film de 52 minutes qui reprend un certain nombre de documents montrés lors de l’exposition évènement du 30ème anniversaire du Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de…

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Qui va à la chasse. Chasse à courre dans une forêt normande du moyen Âge au XXe siècle

Depuis le Moyen âge jusqu’en 1977, « ON » a chassé à courre dans l’antique forêt ducale puis royale de Bur, immense étendue boisée située à l’ouest du Bessin (Calvados) qui, à…

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Pôle Risques, qualité et environnement durable

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La forge numérique

La question de la violence est l’une des plus fréquemment traitées dans le cadre des études cinématographiques. Pourtant, c’est presque toujours à travers le prisme du « contenu » profilmique des images qu’elle est abordée : horreur de la guerre et des univers concentrationnaires, torture physique ou mentale, représentation de la mort, brutalité exercée à l’égard d’un être humain ou d’un animal…
À la fin des années 1960, aux États-Unis, le cinéaste Ken Jacobs entame ses expériences perceptives sur des films des premiers temps à l’aide d’un projecteur analytique lui permettant de faire des arrêts sur image, de ralentir, d’accélérer et/ou de faire marche arrière pendant le visionnage d’une bobine.
Un cadre bringuebalé et un objectif éclaboussé par les soubresauts d’une course acharnée dans les eaux d’une rizière que traverse un assassin dans Le Grand Attentat (Eiichi Kudō, 1964) ; une image recouverte d’un sang noir projeté par la carotide d’un seigneur brutalement décapité dans Samouraï (Kihachi Okamoto, 1965) ; l’idéogramme « Fin » en surimpression sur l’image floutée par le mouvement soudainement figé d’un corps de sabreur déchaîné dont le coup de katana semble déchirer l’écran dans Le

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