La forge numérique

Espace numérique des productions multimédia de la Maison de la recherche en sciences humaines de l’université de Caen Normandie.

La Forge Numérique de la MRSH, qui permet d’écouter ou de voir les conférences auxquelles on n’a pas pu se rendre, offre ainsi 15 000 auditeurs quand la salle en a eu 100, le partenariat avec France Culture, Canal U, la chaîne des plateformes Visio du réseau national des MSH contribuent à cette diffusion dans le monde académique et le public.

Retrouvez toutes nos productions sur notre chaine la Forge numérique sur Canal U

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Du travail de laboratoire, de terrain, de réflexion, d’écriture longue des chercheurs, à une Semaine de la Mémoire grand public, en passant par la réflexion sur l’éthique, sur les impacts de technologies sur la société et à la conception de la nouvelle édition numérique et le document numérique, la MRSH œuvre à construire les liens, les fils, les cohérences au sein de son université, liée à son territoire et tournée vers l’ensemble du tissu scientifique du pays et vers l’international. L’esprit de nouveauté, d’innovation, de recherche approfondi, de circulation des idées dans son territoire comme au niveau international anime les chercheurs qui travaillent à la MRSH. Cet esprit est porté par des lieux d’échange, sa cafétéria où la convivialité favorise les discussions, raccourcit et stimule la circulation de l’information et l’échange scientifique.

La MRSH travaille à être un lieu de création scientifique, de formation à la recherche des doctorants, un lieu de pensée, d’accélération d’innovation, pour son université et sa Région et pour contribuer au développement de la communauté de recherche nationale avec l’INSHS du CNRS et le réseau national des MSH.

Dernières vidéos publiées

Associé à la thèse de doctorat intitulée « Interroger les espaces alternatifs et oppositionnels des mouvances anarchistes et libertaires à Caen et à Athènes : Une approche filmique et une analyse marxiste et décoloniale des rapports de pouvoir, de production et d’organisation de l’espace » sous la direction de Benoît Raoulx (UCN – ESO CAEN).
Associé à la thèse de doctorat intitulée « Interroger les espaces alternatifs et oppositionnels des mouvances anarchistes et libertaires à Caen et à Athènes : Une approche filmique et une analyse marxiste et décoloniale des rapports de pouvoir, de production et d’organisation de l’espace » sous la direction de Benoît Raoulx (UCN – ESO CAEN).
Associé à la thèse de doctorat intitulée « Interroger les espaces alternatifs et oppositionnels des mouvances anarchistes et libertaires à Caen et à Athènes : Une approche filmique et une analyse marxiste et décoloniale des rapports de pouvoir, de production et d’organisation de l’espace » sous la direction de Benoît Raoulx (UCN – ESO CAEN).
Dès leur retour en France au printemps 1945, les travailleurs requis se réunissent en association pour défendre leurs intérêts et obtenir la reconnaissance d’un statut et d’un titre, celui de de « déporté du travail » comme fondement de leur identité.
Son intervention a consisté à rapporter sur la thèse de Lucie Hébert (absente) traitant de la déportation des droit commun par les Allemands depuis la France occupée.
Denis PESCHANSKI (Directeur de recherche CNRS émérite, Président du conseil scientifique et d’orientation de la Mission du 80ème anniversaire des débarquements, de la Libération de la France et de la Victoire)
L’intervention revient sur l’irruption du genre en tant que catégorie heuristique dans l’analyse des déportations des femmes depuis la France, dans le cadre des mesures de répression.
Les convois de déportation partis de France entre mars et juin 1942 résultent des évolutions et des croisements des politiques de répression et de persécution de l’occupant allemand.

Derniers audios

Les programmes de l’enseignement du français de l’école élémentaire au Lycée incitent les professeurs à développer des savoirs, des compétences et une attention au « développement durable ». Mais étrangement, lorsque l’on consulte l’ensemble des documents institutionnels disponibles, le français et la littérature semblent quelque peu oubliés, sinon minorés à l’exception ou presque d’une approche transversale du « développement durable » (voir notamment « Le Vademecum pour l’enseignement durable
À l’heure où les maisons d’éditions françaises commencent à avoir recours, sur le modèle de l’édition américaine, aux « sensitivity readers » qui « déminent » les œuvres à paraître ou réécrivent celles du passé considérées comme moralement condamnables (l’exemple le plus récent étant celui des romans de Roald Dahl destinés à la jeunesse), à l’heure où la parole des femmes poursuit son mouvement de libération (Le Consentement (2020) de Vanessa Springora, ou les films Une famille (2024) de Christi
Il s’agira de réfléchir sur la manière dont associer des élèves ou des étudiants à l'organisation d'un événement littéraire permet de revitaliser le lien avec le texte littéraire et la lecture, en déplaçant leur positionnement face à la littérature (d'apprenant à médiateur).
Si la littérature contemporaine a longtemps été pensée dans une relation antinomique à la littérature dite « patrimoniale », on sait aujourd’hui que les résonances qui s’établissent entre textes actuels et textes du passé relèvent davantage du continuum que de l’opposition.

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Institut Européen des Jardins et Paysages

Institut Mémoires de l’édition contemporaine (IMEC)

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