Chanson sans titre


Anonyme

Éléments contextuels

xixe siècle

Non localisé

Non localisé

Édition du texte

À souper

après l’ouvrage de la journée

Par un matin me levai

j’avons la gerbe et le blé ;

un chapeau j’en commençai

j’avons la gerbe (bis) et le blé.

j’avons la gerbe et le blé

j’avons la gerbe.

Un chapeau j’en commençai

j’avons la gerbe

dans mon jardin j’y entri

etc.

trois fleurs d’amour j’y trouvi

etc.

j’en pris deux, une j’y laissi

etc.

j’l’enverrai à mon ami

etc.

s’il le prend, grand’joie j’aurai

etc.

et s’il ne le prend, j’en mourrai

etc.

Commentaire sur l’édition

Édition faite sur l’original.

Source ou éditions princeps

Arch. dép. Calvados, 122 J 1-7.

Édition critique

R. N. Sauvage, « Chansons de moisson recueillies dans le Lieuvin vers 1830 », Bulletin de la Société des Antiquaires de Normandie, t. XLIX, 1942-1945, p. 382-385.

Patrice Lajoye, « À propos de quelques textes inédits en patois de l’Orne des xviiie et xixe siècles », Études ornaises, 5, 2023, p. 104.

Études

Patrice Lajoye, « À propos de quelques textes inédits en patois de l’Orne des xviiie et xixe siècles », Études ornaises, 5, 2023, p. 98-114.

Commentaire historique et contextuel

Ce texte fait partie d’un petit lot de chansons collectées par Louis Du Bois dans l’Ouest de l’Orne au début du xixe siècle.

Commentaire linguistique