| Type de site : 5 - Indéterminé | Commune : BERNIERES-SUR-MER | Lieu-dit : Le Marais |
Dès les premières heures qui suivirent le débarquement des troupes alliées, des centaines de véhicules en tout genre ont été mis à terre et envoyés vers la ligne de front. Ce gigantesque déploiement n'a laissé quasiment aucun vestige dans le paysage. Quelques traces discrètes sont pourtant encore observables dans plusieurs communes du Calvados. C'est le cas de Bernières-sur-Mer. Plusieurs ruelles étroites situées à proximité du front de mer portent encore le témoignage du passage des chars. Ce sont principalement les ruelles perpendiculaires au rivage qui portent ces marques. Elles permettaient en effet de traverser rapidement le village pour rejoindre les premières lignes. Les bordures des trottoirs ont été abîmées en différents endroits par les chenilles et sont toujours visibles à l'heure actuelle. C'est un témoignage rare puisque la plupart des trottoirs ont été remplacés ou modifiés au cours des 75 années qui viennent de s'écouler.



| Type de site : 5 - Indéterminé |
| Descripteur : Autre |
Traces marquées dans les bordures de trottoirs témoignant du passage des chars et autres véhicules chenillés dans les ruelles de Bernières-sur-Mer en juin 1944. Ces traces se traduisent par des encoches successives et relativement identiques le long des bordures de trottoirs de certaines rues de Bernières (ici la rue du Régiment de la Chaudière). Du fait de l'étroitesse des rues, les patins des chenilles des chars ont frotté le long des bordures et ont arraché des morceaux de celles-ci. Les bordures n'ont pas été changé depuis la fin de la guerre et les traces sont toujours visibles.





| Type de site : 5 - Indéterminé |
| Descripteur : Autre |
Traces marquées dans les bordures de trottoirs témoignant du passage des chars et autres véhicules chenillés dans les ruelles de Bernières-sur-Mer en juin 1944. Ces traces se traduisent par des encoches successives et relativement identiques le long des bordures de trottoirs de certaines rues de Bernières (ici la rue de la Corderie). Du fait de l'étroitesse des rues, les patins des chenilles des chars ont frotté le long des bordures et ont arraché des morceaux de celles-ci. Les bordures n'ont pas été changé depuis la fin de la guerre et les traces sont toujours visibles.





