| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : BRETTEVILLE-SUR-ODON | Lieu-dit : Les Forques |
Implanté au sud-ouest de Caen, à proximité de la base aérienne de Carpiquet, le site de Bretteville-sur-Odon était un vaste ensemble fortifié mis en place par les troupes allemandes dès 1941. Rattaché à la Luftwaffe (armée de l'air allemande), ce site avait en charge la défense antiaérienne du secteur et la protection des installations stratégiques de Carpiquet. Il faisait partie d'un ensemble composé d'une vingtaine de sites d'importance variable qui ceinturaient l'aérodrome. Les archives militaires relatives au site de Bretteville sont très lacunaires. Elles nous apprennent seulement que le site avait pour nom de code Stützpunkt Bretteville (point d'appui Bretteville) et qu'il a été occupé successivement par différentes unités de la Flak (défense antiaérienne allemande). Il n'existe aucune source concernant l'aménagement du site et son fonctionnement. De plus, les informations relatives à l'armement en place sont peu précises. Elles évoquent simplement la présence de canons antiaériens de calibre 20 mm aux abords du retranchement sans localisation exacte. Bien que situé à plus de 15 km des côtes sableuses du Calvados, le site de Bretteville-sur-Odon faisait pourtant partie du système défensif allemand connu sous le nom de Mur de l'Atlantique. Cet ensemble de positions fortifiées bétonnées avait en charge la défense des côtes de l'Europe occidentale. Alors que les sites du Mur de l'Atlantique sont caractérisés par des constructions bétonnées standardisées, il en est tout autre pour le point d'appui de Bretteville-sur-Odon. La campagne de fouille archéologique menée en 2020 a révélé l'absence totale de béton armé sur le site. Les aménagements mis au jour s'écartent complètement des constructions normalisées habituellement présentes. Deux zones se distinguent clairement au sein du site. La partie sud a fait l'objet d'un soin particulier et présente des abris enterrés maçonnés en pierre calcaire tandis que le pôle situé au nord se limite à des excavations aménagées directement dans le substrat et dépourvues de maçonnerie. Enfin, des aménagements périphériques plus modestes documentent le système de surveillance et l'armement de cet important site à vocation défensive. L'abandon du site par les soldats allemands au tout début du mois de juillet 1944 ne marque pas sa destruction. Les structures en creux sont restées visibles jusqu'en 1947 et n'ont réellement disparu qu'au tout début des années 1950 avec la remise en culture des parcelles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle avait été renforcée par l’installation d’un muret en briques sur son pourtour et était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Cet élément a rapidement été remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle avait été renforcée par l’installation d’un muret en briques sur son pourtour et était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Cet élément a rapidement été remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle avait été renforcée par l’installation d’un muret en briques sur son pourtour et était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Cet élément a rapidement été remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle avait été renforcée par l’installation d’un muret en briques sur son pourtour et était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Cet élément a rapidement été remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle avait été renforcée par l’installation d’un muret en briques sur son pourtour et était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Cet élément a rapidement été remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle avait été renforcée par l’installation d’un muret en briques sur son pourtour et était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Cet élément a rapidement été remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle avait été renforcée par l’installation d’un muret en briques sur son pourtour et était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Cet élément a rapidement été remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
En plus des ouvrages dédiés au cantonnement, au stockage de munitions et de matériel, différents abris ont été aménagés sur le site de la batterie. Plus modestes que les ouvrages précédemment évoqués, leur fonction n’a pas été clairement établie. Il pouvait s’agir de lieu de stockage d’appoint ou bien d’abri en cas de bombardement. Ces éléments ont tous été remblayés après la fin de la guerre et ne sont désormais plus visibles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
En plus des ouvrages dédiés au cantonnement, au stockage de munitions et de matériel, différents abris ont été aménagés sur le site de la batterie. Plus modestes que les ouvrages précédemment évoqués, leur fonction n’a pas été clairement établie. Il pouvait s’agir de lieu de stockage d’appoint ou bien d’abri en cas de bombardement. Ces éléments ont tous été remblayés après la fin de la guerre et ne sont désormais plus visibles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Réservoir d’eau (citerne à eau) |
Comme sur de nombreux sites du Mur de l’Atlantique, deux citernes à eau dédiées à la réalisation du béton avaient été aménagées sur la batterie des Forques. La première se situait dans la moitié nord du site et la seconde dans la moitié sud. Ces ouvrages présentant un plan rectangulaire ont été remblayés lors de la remise en culture des parcelles une fois le conflit terminé. Ils ne sont désormais plus visibles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
En plus des ouvrages dédiés au cantonnement, au stockage de munitions et de matériel, différents abris ont été aménagés sur le site de la batterie. Plus modestes que les ouvrages précédemment évoqués, leur fonction n’a pas été clairement établie. Il pouvait s’agir de lieu de stockage d’appoint ou bien d’abri en cas de bombardement. Ces éléments ont tous été remblayés après la fin de la guerre et ne sont désormais plus visibles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Tranchée couverte |
Afin de desservir les soutes à munitions construites au nord et au sud des encuvements d’artillerie, trois réseaux de tranchées couvertes ont été creusés par les Allemands. Mesurant entre 30 et 40 m de long pour 1,5 m de large, ces réseaux permettaient aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Ils étaient composés d’un couloir principal de part et d’autre duquel des accès disposés en quinconce desservaient les soutes. Ces réseaux ne sont plus visibles à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions enterrée maçonnée en blocs calcaire destinée au stockage des obus des canons. Construite à quelques dizaines de mètres au nord des encuvements d’artillerie, cette soute permettait aux artilleurs de stocker une grande quantité d’obus et de ravitailler rapidement les canons antiaériens. Cette construction protégée par une simple dalle de couverture en ciment était reliée à quatre autres soutes par un réseau de tranchées couvertes permettant aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Cet élément n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions enterrée maçonnée en blocs calcaire destinée au stockage des obus des canons. Construite à quelques dizaines de mètres au nord des encuvements d’artillerie, cette soute permettait aux artilleurs de stocker une grande quantité d’obus et de ravitailler rapidement les canons antiaériens. Cette construction protégée par une simple dalle de couverture en ciment était reliée à quatre autres soutes par un réseau de tranchées couvertes permettant aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Cet élément n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions enterrée maçonnée en blocs calcaire destinée au stockage des obus des canons. Construite à quelques dizaines de mètres au nord des encuvements d’artillerie, cette soute permettait aux artilleurs de stocker une grande quantité d’obus et de ravitailler rapidement les canons antiaériens. Cette construction protégée par une simple dalle de couverture en ciment était reliée à quatre autres soutes par un réseau de tranchées couvertes permettant aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Cet élément n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions enterrée maçonnée en blocs calcaire destinée au stockage des obus des canons. Construite à quelques dizaines de mètres au nord des encuvements d’artillerie, cette soute permettait aux artilleurs de stocker une grande quantité d’obus et de ravitailler rapidement les canons antiaériens. Cette construction protégée par une simple dalle de couverture en ciment était reliée à quatre autres soutes par un réseau de tranchées couvertes permettant aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Cet élément n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions enterrée maçonnée en blocs calcaire destinée au stockage des obus des canons. Construite à quelques dizaines de mètres au nord des encuvements d’artillerie, cette soute permettait aux artilleurs de stocker une grande quantité d’obus et de ravitailler rapidement les canons antiaériens. Cette construction protégée par une simple dalle de couverture en ciment était reliée à quatre autres soutes par un réseau de tranchées couvertes permettant aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Cet élément n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Afin d’abriter les canons antiaériens, plusieurs encuvements ont été réalisés. De forme rectangulaire, ils étaient composés d’une plateforme délimitée par des murets en blocs calcaire. Des niches de stockage aménagées de part et d’autre de ces plateformes permettaient aux artilleurs de stocker des obus au plus près des canons. Deux rampes d’accès en pente douce facilitaient l’installation du canon au sein de la structure. D’après ses dimensions, cet encuvement devait à l’origine abriter un canon de calibre 8,8 cm. Lors de la fouille de 2020, des douilles de 2 cm ont été découvertes à l'intérieur. Localisé dans la moitié sud de la batterie, cet ouvrage faisait partie d’une série de cinq autres encuvements. Arasé et remblayé lors de la remise en culture des parcelles à la fin de la guerre, cet élément n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Afin d’abriter les canons antiaériens, plusieurs encuvements ont été réalisés. De forme rectangulaire, ils étaient composés d’une plateforme délimitée par des murets en blocs calcaire. Des niches de stockage aménagées de part et d’autre de ces plateformes permettaient aux artilleurs de stocker des obus au plus près des canons. Deux rampes d’accès en pente douce facilitaient l’installation du canon au sein de la structure. D’après ses dimensions, cet encuvement devait à l’origine abriter un canon de calibre 8,8 cm. Lors de la fouille de 2020, des douilles de 2 cm ont été découvertes à l'intérieur. Localisé dans la moitié sud de la batterie, cet ouvrage faisait partie d’une série de cinq autres encuvements. Arasé et remblayé lors de la remise en culture des parcelles à la fin de la guerre, cet élément n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Poste de commandement |
Au centre des encuvements d’artillerie, non loin du poste d’observation, un petit ouvrage enterré faisant office de poste de commandement avait été aménagé. Construit en blocs calcaire, il se limitait à une unique pièce aux dimensions réduites. Une fois la guerre terminée, il a rapidement été remblayé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Afin d’abriter les canons antiaériens, plusieurs encuvements ont été réalisés. De forme rectangulaire, ils étaient composés d’une plateforme délimitée par des murets en blocs calcaire. Des niches de stockage aménagées de part et d’autre de ces plateformes permettaient aux artilleurs de stocker des obus au plus près des canons. Deux rampes d’accès en pente douce facilitaient l’installation du canon au sein de la structure. D’après ses dimensions, cet encuvement devait à l’origine abriter un canon de calibre 8,8 cm. Lors de la fouille de 2020, des douilles de 2 cm ont été découvertes à l'intérieur. Localisé dans la moitié sud de la batterie, cet ouvrage faisait partie d’une série de cinq autres encuvements. Arasé et remblayé lors de la remise en culture des parcelles à la fin de la guerre, cet élément n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Poste d’observation |
Au centre des encuvements d’artillerie, non loin du poste de commandement, un ouvrage à ciel ouvert faisant office de poste d’observation avait été aménagé. De forme rectangulaire, il était composé de trois espaces délimités par des murets fait de blocs calcaire. C’est au sein de cet élément que se trouvait le télémètre permettant de calculer la trajectoire des avions ennemis ainsi que leur vitesse et la distance les séparant de la batterie. Cet ouvrage a été arasé lors de la remise en culture des parcelles après la guerre et n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Afin d’abriter les canons antiaériens, plusieurs encuvements ont été réalisés. De forme rectangulaire, ils étaient composés d’une plateforme délimitée par des murets en blocs calcaire. Des niches de stockage aménagées de part et d’autre de ces plateformes permettaient aux artilleurs de stocker des obus au plus près des canons. Deux rampes d’accès en pente douce facilitaient l’installation du canon au sein de la structure. D’après ses dimensions, cet encuvement devait à l’origine abriter un canon de calibre 8,8 cm. Lors de la fouille de 2020, des douilles de 2 cm ont été découvertes à l'intérieur. Localisé dans la moitié sud de la batterie, cet ouvrage faisait partie d’une série de cinq autres encuvements. Arasé et remblayé lors de la remise en culture des parcelles à la fin de la guerre, cet élément n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
En plus des ouvrages dédiés au cantonnement, au stockage de munitions et de matériel, différents abris ont été aménagés sur le site de la batterie. Plus modestes que les ouvrages précédemment évoqués, leur fonction n’a pas été clairement établie. Il pouvait s’agir de lieu de stockage d’appoint ou bien d’abri en cas de bombardement. Ces éléments ont tous été remblayés après la fin de la guerre et ne sont désormais plus visibles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Afin d’abriter les canons antiaériens, plusieurs encuvements ont été réalisés. De forme rectangulaire, ils étaient composés d’une plateforme délimitée par des murets en blocs calcaire. Des niches de stockage aménagées de part et d’autre de ces plateformes permettaient aux artilleurs de stocker des obus au plus près des canons. Deux rampes d’accès en pente douce facilitaient l’installation du canon au sein de la structure. D’après ses dimensions, cet encuvement devait à l’origine abriter un canon de calibre 8,8 cm. Lors de la fouille de 2020, des douilles de 2 cm ont été découvertes à l'intérieur. Localisé dans la moitié sud de la batterie, cet ouvrage faisait partie d’une série de cinq autres encuvements. Arasé et remblayé lors de la remise en culture des parcelles à la fin de la guerre, cet élément n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie des Forques, trois baraquements en bois ont été installés dans la grande carrière d’extraction à ciel ouvert qui se trouvait en bordure du site. Ces baraquements ont été entourés de murs pare-éclats destinés à protéger les occupants en cas de bombardements. Une fois la guerre terminée, les baraquements ont été démontés mais les murs sont restés visibles jusqu’à la fin des années 1970. Au début des années 1980, la carrière a été entièrement remblayée.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie des Forques, trois baraquements en bois ont été installés dans la grande carrière d’extraction à ciel ouvert qui se trouvait en bordure du site. Ces baraquements ont été entourés de murs pare-éclats destinés à protéger les occupants en cas de bombardements. Une fois la guerre terminée, les baraquements ont été démontés mais les murs sont restés visibles jusqu’à la fin des années 1970. Au début des années 1980, la carrière a été entièrement remblayée.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie des Forques, trois baraquements en bois ont été installés dans la grande carrière d’extraction à ciel ouvert qui se trouvait en bordure du site. Ces baraquements ont été entourés de murs pare-éclats destinés à protéger les occupants en cas de bombardements. Une fois la guerre terminée, les baraquements ont été démontés mais les murs sont restés visibles jusqu’à la fin des années 1970. Au début des années 1980, la carrière a été entièrement remblayée.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Afin d’abriter les canons antiaériens, plusieurs encuvements ont été réalisés. De forme rectangulaire, ils étaient composés d’une plateforme délimitée par des murets en blocs calcaire. Des niches de stockage aménagées de part et d’autre de ces plateformes permettaient aux artilleurs de stocker des obus au plus près des canons. Deux rampes d’accès en pente douce facilitaient l’installation du canon au sein de la structure. D’après ses dimensions, cet encuvement devait à l’origine abriter un canon de calibre 8,8 cm. Lors de la fouille de 2020, des douilles de 2 cm ont été découvertes à l'intérieur. Localisé dans la moitié sud de la batterie, cet ouvrage faisait partie d’une série de cinq autres encuvements. Arasé et remblayé lors de la remise en culture des parcelles à la fin de la guerre, cet élément n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions enterrée maçonnée en blocs calcaire destinée au stockage des obus des canons. Construite à quelques dizaines de mètres au sud des encuvements d’artillerie, cette soute permettait aux artilleurs de stocker une grande quantité d’obus et de ravitailler rapidement les canons antiaériens. Cette construction protégée par une simple dalle de couverture en ciment était reliée à trois autres soutes par un réseau de tranchées couvertes permettant aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Cet élément n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions enterrée maçonnée en blocs calcaire destinée au stockage des obus des canons. Construite à quelques dizaines de mètres au sud des encuvements d’artillerie, cette soute permettait aux artilleurs de stocker une grande quantité d’obus et de ravitailler rapidement les canons antiaériens. Cette construction protégée par une simple dalle de couverture en ciment était reliée à une autre soute par un petit réseau de tranchées couvertes permettant aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Cet élément n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions enterrée maçonnée en blocs calcaire destinée au stockage des obus des canons. Construite à quelques dizaines de mètres au sud des encuvements d’artillerie, cette soute permettait aux artilleurs de stocker une grande quantité d’obus et de ravitailler rapidement les canons antiaériens. Cette construction protégée par une simple dalle de couverture en ciment était reliée à une autre soute par un petit réseau de tranchées couvertes permettant aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Cet élément n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant environ 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Depuis ce poste il était possible de surveiller l’accès sud du site. Cet élément a été rapidement remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions enterrée maçonnée en blocs calcaire destinée au stockage des obus des canons. Construite à quelques dizaines de mètres au sud des encuvements d’artillerie, cette soute permettait aux artilleurs de stocker une grande quantité d’obus et de ravitailler rapidement les canons antiaériens. Cette construction protégée par une simple dalle de couverture en ciment était reliée à trois autres soutes par un réseau de tranchées couvertes permettant aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Cet élément n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions enterrée maçonnée en blocs calcaire destinée au stockage des obus des canons. Construite à quelques dizaines de mètres au sud des encuvements d’artillerie, cette soute permettait aux artilleurs de stocker une grande quantité d’obus et de ravitailler rapidement les canons antiaériens. Cette construction protégée par une simple dalle de couverture en ciment était reliée à trois autres soutes par un réseau de tranchées couvertes permettant aux soldats de circuler sans s’exposer aux tirs ennemis. Cet élément n’est plus visible à l’heure actuelle.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Afin de loger la garnison de la batterie, de grandes fosses avaient été creusées par les Allemands pour y installer des baraquements en bois. De forme carrée ou rectangulaire et mesurant en moyenne 10 m de côté, ces fosses permettaient aux soldats d’être en sécurité en cas de bombardement. Une fois la guerre terminée, ces larges excavations ont été remblayées avec des gravats provenant de la ville de Caen. Elles ne sont plus visibles aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Réservoir d’eau (citerne à eau) |
Comme sur de nombreux sites du Mur de l’Atlantique, deux citernes à eau dédiées à la réalisation du béton avaient été aménagées sur la batterie des Forques. La première se situait dans la moitié nord du site et la seconde dans la moitié sud. Ces ouvrages présentant un plan rectangulaire ont été remblayés lors de la remise en culture des parcelles une fois le conflit terminé. Ils ne sont désormais plus visibles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
En plus des ouvrages dédiés au cantonnement, au stockage de munitions et de matériel, différents abris ont été aménagés sur le site de la batterie. Plus modestes que les ouvrages précédemment évoqués, leur fonction n’a pas été clairement établie. Il pouvait s’agir de lieu de stockage d’appoint ou bien d’abri en cas de bombardement. Ces éléments ont tous été remblayés après la fin de la guerre et ne sont désormais plus visibles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
En plus des ouvrages dédiés au cantonnement, au stockage de munitions et de matériel, différents abris ont été aménagés sur le site de la batterie. Plus modestes que les ouvrages précédemment évoqués, leur fonction n’a pas été clairement établie. Il pouvait s’agir de lieu de stockage d’appoint ou bien d’abri en cas de bombardement. Ces éléments ont tous été remblayés après la fin de la guerre et ne sont désormais plus visibles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
En plus des ouvrages dédiés au cantonnement, au stockage de munitions et de matériel, différents abris ont été aménagés sur le site de la batterie. Plus modestes que les ouvrages précédemment évoqués, leur fonction n’a pas été clairement établie. Il pouvait s’agir de lieu de stockage d’appoint ou bien d’abri en cas de bombardement. Ces éléments ont tous été remblayés après la fin de la guerre et ne sont désormais plus visibles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
En plus des ouvrages dédiés au cantonnement, au stockage de munitions et de matériel, différents abris ont été aménagés sur le site de la batterie. Plus modestes que les ouvrages précédemment évoqués, leur fonction n’a pas été clairement établie. Il pouvait s’agir de lieu de stockage d’appoint ou bien d’abri en cas de bombardement. Ces éléments ont tous été remblayés après la fin de la guerre et ne sont désormais plus visibles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant environ 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Depuis ce poste il était possible de surveiller l’accès sud du site. Cet élément a été rapidement remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant environ 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Depuis ce poste il était possible de surveiller l’accès sud du site. Cet élément a été rapidement remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant environ 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Depuis ce poste il était possible de surveiller l’accès sud du site. Cet élément a été rapidement remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant environ 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Depuis ce poste il était possible de surveiller l’accès sud du site. Cet élément a été rapidement remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant environ 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Depuis ce poste il était possible de surveiller l’accès sud du site. Cet élément a été rapidement remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant environ 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Depuis ce poste il était possible de surveiller l’accès sud du site. Cet élément a été rapidement remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Afin de défendre le périmètre de la batterie des Forques, les Allemands avaient creusé plusieurs fosses faisant office de poste de surveillance et de tir. Mesurant environ 2m x 1m, cette fosse pouvait accueillir un ou deux soldats. Elle était apparemment munie d’une toiture faite de planches de bois. Depuis ce poste il était possible de surveiller l’accès sud du site. Cet élément a été rapidement remblayé une fois le conflit terminé et n’est plus visible aujourd’hui.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration | Commune : BRETTEVILLE-SUR-ODON |
Les Allemands avaient implanté une série de nids de résistance et positions autour de l'aérodrome de Carpiquet afin de défendre celui-ci d'une attaque, en particulier d'une attaque aérienne. Ce site, localisé entre le Wn 135, le Wn 141 et le Stp Bretteville, faisait partie de ces positions gravitant autour de l'aérodrome. Il s'agit d'une petite position repérée lors de l'étude des photographies aériennes. Les limites de l'emprise de ce site n'ont pas pu être précisément déterminées. Cette position regroupe trois abris excavés et des petites structures indéterminées et difficilement visibles sur les photographies aériennes. Une piste desservait ce site et le reliait au Wn 135. On peut supposer qu'il s'agissait d'un site de cantonnement. Ce site a été lourdement bombardé et est rapidement remblayé après la fin de la guerre afin de permettre la remise en culture des parcelles. Il n'est déjà plus visible sur les photographies aériennes de 1947.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour personnels mesurant environ 11 m de côté et construit par excavation, les déblais extraits étant repositionnés en merlon autour de la structure. Il est relié au nord à la piste desservant le site. On perçoit sur les photographies aériennes les pans du toit du baraquement aménagé à l'intérieur. Il est rapidement remblayé après la guerre afin de permettre la remise en culture des parcelles.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour personnels mesurant environ 13 m de côté et construit par creusement, les déblais extraits étant repositionnés en merlon autour de la structure. Il est relié à l'est à une plateforme et au sud à la piste desservant le site. On perçoit sur les photographies aériennes les pans du toit du baraquement aménagé à l'intérieur. Il est rapidement remblayé après la guerre afin de permettre la remise en culture des parcelles.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
Plateforme mesurant environ 5 m de côté et construite par terrassement, les déblais extraits étant repositionnés en merlon autour de la structure. Elle est reliée à l'ouest à un abri pour personnels et au sud à la piste desservant le site. Elle est rapidement remblayé après la guerre afin de permettre la remise en culture des parcelles.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour personnels mesurant environ 11 m de côté et construit par creusement, les déblais extraits étant repositionnés en merlon autour de la structure. Il est relié à la piste desservant le site. On perçoit sur les photographies aériennes les pans du toit du baraquement aménagé à l'intérieur. Il est rapidement remblayé après la guerre afin de permettre la remise en culture des parcelles.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour personnels mesurant environ 9 m de côté et construit par excavation, les déblais extraits étant repositionnés en merlon autour de la structure. Il est relié à la piste desservant le site mais ce situe très à l'écart des autres structures, à l'extrémité est du site. On perçoit sur les photographies aériennes les pans du toit du baraquement aménagé à l'intérieur. Il est rapidement remblayé après la guerre afin de permettre la remise en culture des parcelles.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Tranchée ouverte |
Petite tranchée ouverte en forme de T reliant un abri pour personnels à une plateforme et à la piste desservant le site. Elle est rapidement remblayée après la guerre afin de permettre la remise en culture des parcelles.
| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : BRETTEVILLE-SUR-ODON |
Les Allemands avaient implanté une série de nids de résistance et positions de tir autour de l'aérodrome de Carpiquet afin de défendre celui-ci d'une attaque, en particulier d'une attaque aérienne. Le Wn 141, situé à l'est du quartier Koenig, fait partie de ces sites gravitant autour de l'aérodrome. Il s'agit d'une petite position composée de trois abris répartis en deux espaces et dont la clôture délimitant son emprise était très visible sur photographie aérienne. Elle comporte également un réseau de tranchées de défense, un bunker bétonné au nord et un encuvement au sud. Ce site est très rapidement remblayé après la guerre : il n'est presque plus visible en 1947 et est totalement remblayé en 1954. Une portion du périphérique a été implantée à son emplacement.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
Abri en béton situé à l'est du quartier Koenig. Il s'agit d'un ouvrage ne correspondant pas un plan standard. Il devait s'agir d'un abri pour personnels. Il a longtemps été utilisé par la Sécurité Civile. En avril 2023, il a été conservé lors des travaux de construction d'une bretelle d'accès au périphérique.







| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour personnels de forme carrée mesurant 9 m de côté. Il est desservi par un réseau de tranchées et relié ainsi aux autres ouvrages du site. Il est rapidement remblayé à la fin de la guerre afin de remettre en culture les parcelles. Il se trouve aujourd'hui à l'emplacement du périphérique.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour personnels de forme carrée mesurant 9 m de côté. Il est desservi par un réseau de tranchées et relié ainsi aux autres ouvrages du site. Il est rapidement remblayé à la fin de la guerre afin de remettre en culture les parcelles. Il se trouve aujourd'hui à l'emplacement du périphérique.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour personnels de forme carrée mesurant 9 m de côté. Il est desservi par un réseau de tranchées et relié ainsi aux autres ouvrages du site. Il est rapidement remblayé à la fin de la guerre afin de remettre en culture les parcelles. Il se trouve aujourd'hui à l'emplacement du périphérique.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour personnels de forme carrée mesurant 9 m de côté. Il est desservi par un réseau de tranchées et relié ainsi aux autres ouvrages du site. Il semble être défendu par trois éléments de défense rapprochée creusés dans le sol. Il est rapidement remblayé à la fin de la guerre afin de remettre en culture les parcelles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement pour canon de défense anti-aérienne de forme rectangulaire mesurant 12x8 m de côté. L'accès se faisait par l'est, du côté des autres structures du site. Il est rapidement remblayé à la fin de la guerre afin de remettre en culture les parcelles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Elément de défense rapprochée situé au nord-est du site. Il s'agit d'une tranchée menant à un petit poste circulaire, creusé dans le sol. Il est rapidement remblayé à la fin de la guerre afin de remettre en culture les parcelles.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Tranchée ouverte |
Réseau de tranchées en zigzags desservant les différentes structures composant le Wn 141. Il est rapidement remblayé à la fin de la guerre afin de permettre la remise en culture des parcelles.
| Nom du site : Quartier Koenig |
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration | Commune : BRETTEVILLE-SUR-ODON |
Ce secteur de l'aérodrome de Carpiquet, se situant sur la commune de Bretteville-sur-Odon, a été construit dans le but d'héberger des zones de parc, de logement et de commandement aérien. Ce quartier commence à être aménagé dès 1936 et jusqu'en 1939, date à laquelle une partie des bâtiments sont déjà construits, en particulier les hangars ateliers Boussiron situés à l'ouest. Le quartier Koenig est ensuite occupé par la Luftwaffe et sert de poste de cantonnement et de commandement. Il subit de graves dommages lors des bombardements de la bataille de Carpiquet. Il commence à être reconstruit en 1946 avec l'installation de l'Armée de l'air puis de l'Armée de terre dans les locaux. De nombreuses tranchées destinées à abriter les personnels en cas de bombardement avaient été implantées dans les espaces libres du quartier. Etant donné leur grand nombre et les travaux de reprise ayant déjà eu lieu sur cet espace, elles n'ont pas été redessinées sur le plan de ce site. Aujourd'hui, il s'agit d'un quartier en pleine évolution, accueillant régulièrement de nouvelles entreprises et cherchant une nouvelle dynamique économique et culturelle. Deux abris bétonnés présents sur ce site ont été détruits en 2013 lors de travaux. Il s'agissait d'un abri pour troupe situé au centre du quartier et d'une construction légère en béton également. Les deux abris ne suivaient pas un plan type. Ils ont été photographiés et leur plan a été dessiné par T. Quittard avant leur destruction.
| Nom du site : Quartier Koenig |
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Mess du quartier Koenig, construit entre 1936 et 1940, réutilisé par les Allemands. Il possédait à l'origine un toit à double-pente. Son toit plat et le fronton orné d'une étoile datent de la reconstruction.



| Nom du site : Quartier Koenig |
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Elément de défense rapprochée en béton armé situé au sud du quartier Koenig, à côté de l'actuel stand de tir. Il s'agit d'un tobrouk en bon état de conservation, étant à l'origine fermé par une plaque de ciment qui a été déplacée. Il est donc aujourd'hui à ciel ouvert.
| Nom du site : Quartier Koenig |
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Autre |
Anomalie détectée par la présence d'une tache d'herbe dans un champ labouré. Il pourrait s'agir de béton armé. Sa fonction n'a pas pu être précisée.
| Nom du site : Quartier Koenig |
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Nom codifié d'origine : Hangars ateliers Boussiron |
| Descripteur : Atelier de maintenance |
Hangars-ateliers dits Boussiron dont la construction est terminée le 15 avril 1939. Il s'agit d'un double hangar accolé, réalisé en béton. Ils sont caractérisés par deux travées de 70m de long. Les locaux qui leur sont associés servaient de bureau de piste. Ces hangars permettaient la réparation et le montage des avions. On trouve également à l'intérieur des zones d'ateliers de tailles inférieurs. Un étage permettait l'installation de bureaux avec fenêtres donnant sur les travées. Des fosses de vidange avaient été creusées dans le sol : leurs traces sont toujours visibles bien qu'elles aient été comblées après guerre. Des marquages allemands"RAUCHEN VERBOTEN" seraient toujours visibles bien que recouverts par des marquages français disant"Défense de Fumer". Ils étaient encore présents en 2013 et sont illustrés dans le livre de T. Quittard et F. Robinard. Ils servent aujourd'hui à des entreprises et une partie des hangars est occupée par un musée dédié à l'aviation de la Seconde Guerre mondiale. Il ne reste que peu de hangars de ce type actuellement en France.
| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : BRETTEVILLE-SUR-ODON |
Les Allemands avaient implanté une série de nids de résistance et positions de tir autour de l'aérodrome de Carpiquet afin de défendre celui-ci d'une attaque, en particulier d'une attaque aérienne. Ce site en fait partie et défend notamment l'accès est du quartier Koenig, comportant des espaces de cantonnement, d'administration ainsi que des ateliers de maintenance. Il s'agit d'un petit site composé d'un élément de défense rapproché (tobrouk), encore conservé dans une haie et d'un bâtiment en béton ayant aujourd'hui la fonction de station d'épuration.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Bâtiment technique |
Bâtiment en béton servant aujourd'hui de station d'épuration. Il apparaît sur les photographies aériennes de 1944 et semble lié aux différents sites veillant à la défense du quartier Koenig. Cependant, il s'agit peut-être d'un bâtiment antérieur à la Seconde Guerre mondiale.


| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Elément de défense rapprochée (Ringstand) conservé dans une haie, le long de la route partant à l'est du quartier Koenig. Il est camouflé par une butte de terre et est invisible depuis la route. Il permettait d'assurer la protection de l'entrée est du quartier militaire. Il est toujours bien conservé aujourd'hui (avril 2023) mais il est impossible de pénétrer à l'intérieur car son accès a été condamné.



| Type de site : 1 - Cantonnement et administration | Commune : | Lieu-dit : Quartier Koenig |
Ce site se trouve à l'extrémité nord-ouest du quartier Koenig. Pendant l'occupation allemande de l'aérodrome, le quartier Koenig abrite des bâtiments de cantonnement et d'administration (certains construits par l'armée française ainsi que des baraquements allemands), des hangars pour le stockage et la réparation des avions, une tour de contrôle et diverses structures permettant le fonctionnement du site (cuves, citernes, abris de stockage, ...). De nombreuses tranchées à traverses ont également été repérées sur les photographies aériennes et devaient permettre au personnel de trouver refuge en cas de bombardement. L'étude de ces photographies aériennes a également permis de repérer dans l'emprise de ce site un possible ouvrage bétonné enterré accompagné d'un second bâtiment en élévation, possiblement en béton également. La tranchée d'accès flanquant le mur de façade de l'ouvrage est particulièrement visible. Sur des photographies obliques prises en 1945, ces deux bâtiments sont présents mais semblent avoir été partiellement démolis. Aujourd'hui, les photographies aériennes révèlent toujours le plan de ces deux ouvrages dont les murs ont dû être arasés mais doivent toujours être présents. En effet, des différences notables dans la pousse des céréales sont visibles. Enfin, il apparaît que trois petits ouvrages (tobrouks ?) sont encore conservés en élévation. L'un d'eux est bien visible en photographie aérienne, la présence des deux autres est soupçonnée car l'agriculteur exploitant ce champ semble systématiquement éviter ces zones lorsqu'il laboure. La réalisation prochaine d'un diagnostic archéologique dans le cadre de nouveaux aménagements devrait permettre de caractériser plus précisément les vestiges de la Seconde Guerre mondiale présents sur ce site.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Autre |
Ce bâtiment correspondrait, d'après les plans français du quartier Koenig datés de 1939, à la tour de contrôle de l'aérodrome de Carpiquet. Il s'agit d'un bâtiment rectangulaire avec une avancée vers l'ouest et supportant une tour située au centre de l'édifice. Ce bâtiment, utilisé par les Allemands durant l'occupation, subi les bombardements de 1944 et est rasé à la fin de la guerre. Ses ruines sont visibles sur une photographie aérienne oblique de 1945. Les fondations de ce bâtiment sont encore particulièrement bien visibles sur les photographies aériennes actuelles à travers le retard de pousse des céréales cultivées à l'emplacement de ce bâtiment.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Tranchée ouverte |
Réseau de tranchées sinueuses, à traverses et droites desservant différentes éléments présents sur le site (ouvrages bétonnés, postes de tir). Si elles sont peu visibles sur les photographies aériennes de juin 1944 du fait de leur camouflage, elles apparaissent nettement sur celles de 1945. Ces tranchées ont été remblayées rapidement après la fin de la guerre.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
Abri de forme rectangulaire, à l'origine en élévation, détruit après la fin de la guerre. Il ne semble pas avoir souffert des bombardements. Cet abri, à la fonction indéterminée pour le moment, semble fonctionner en lien avec un gros ouvrage bétonné semi-enterré. Ils sont en effet situés à quelques mètres de distance et sont reliés par une tranchée. Ce bâtiment pourrait être lié à la gestion du trafic aérien sur l'aérodrome (radios, communications). On voit qu'il est en cours de destruction sur une photographie aérienne oblique de 1945. Ses fondations sont encore visibles sur les photographies aériennes actuelles grâce au retard de croissance des céréales à son emplacement.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
Ouvrage bétonné de forme rectangulaire flanqué de deux murs de parapet obliques, à l'origine en élévation, détruit après la fin de la guerre. Il ne semble pas avoir souffert des bombardements. Les photographies aériennes anciennes permettent de voir qu'on y accédait par une tranchée parallèle au mur de façade sud et semblant assez profonde. Il y avait à priori deux entrées au niveau de cette façade. Cet abri, à la fonction indéterminée pour le moment, semble fonctionner en lien avec un bâtiment aux dimensions plus réduites. Ils sont en effet situés à quelques mètres de distance et sont reliés par une tranchée. Ce bâtiment pourrait être lié à la gestion du trafic aérien sur l'aérodrome (radios, communications). On voit qu'il est en cours de destruction sur une photographie aérienne oblique de 1945. Ses fondations sont encore très nettement visibles sur les photographies aériennes actuelles grâce au retard de croissance des céréales à son emplacement.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Petit ouvrage semblant être en béton armé, visible sur les photographies aériennes actuelles. Il pourrait s'agir d'un élément de défense rapproché de type tobrouk, d'un petit abri indéterminé ou d'une cuve. L'agriculteur semble éviter systématiquement trois abris similaires dans cette zone. Ils n'apparaissent pas distinctement sur les photographies aériennes de juin 1944 mais devaient être en lien avec une grande tranchée rectiligne qui elle est bien visible.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Petit ouvrage probablement en béton armé, visible sur les photographies aériennes actuelles. Il pourrait s'agir d'un élément de défense rapproché de type tobrouk, d'un petit abri indéterminé ou d'une cuve. L'agriculteur semble éviter systématiquement trois abris similaires dans cette zone. Ils n'apparaissent pas distinctement sur les photographies aériennes de juin 1944 mais devaient être en lien avec une grande tranchée rectiligne qui elle est bien visible.
| Type de site : 1 - Cantonnement et administration |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Petit ouvrage probablement en béton armé, visible sur les photographies aériennes actuelles. Il pourrait s'agir d'un élément de défense rapproché de type tobrouk, d'un petit abri indéterminé ou d'une cuve. L'agriculteur semble éviter systématiquement trois abris similaires dans cette zone. Ils n'apparaissent pas distinctement sur les photographies aériennes de juin 1944 mais devaient être en lien avec une grande tranchée rectiligne qui elle est bien visible.