Vestiges de la Seconde Guerre mondiale

CRICQUEVILLE-EN-BESSIN-14204_S001

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Commune : CRICQUEVILLE-EN-BESSIN Lieu-dit : La Pointe du Hoc

Désignation

Importante batterie d'artillerie côtière implantée au somment de la falaise de la Pointe du Hoc à partir de mai 1942. Cette solide position culmine à plus de trente mètres au dessus du niveau de la mer et bénéficie d'une parfaite vue sur la baie des Veys et la côte orientale du Cotentin. Cette batterie était en charge de la défense lointaine du rivage. Pour ce faire, les troupes allemandes avaient disposé, dès 1942, six canons de 155 mm français dans de grands encuvements circulaires. Autour de ces positions de tir à ciel ouvert, des baraquements et quelques abris légers pour le personnel avaient été édifiés. Les travaux s'intensifièrent ensuite avec la construction de trois grandes soutes à munitions réparties entres les encuvements. Plusieurs abris pour groupes de combat virent le jour ainsi qu'un abri faisant office de poste de commandement. Au cours de l'été 1943, un imposant poste de direction de tir fut construit en avant du site, près du bord de la falaise. Un grand abri infirmerie fut également créé en arrière du site et permettait de fournir les premiers soins aux blessés. Enfin, la défense du site était assurée par plusieurs éléments : deux abris surmontés de canons de 37 mm étaient chargés de la couverture antiaérienne, un tobrouk permettait de couvrir les arrières de la position et plusieurs postes de tir furent creusés sur l'ensemble du site. Un petit réseau de tranchées desservait les principaux ouvrages entre eux. A partir du printemps 1944, les raids aériens alliés s'intensifièrent et les Allemands décidèrent la constructions de casemates pour protéger les canons. Pendant les travaux, les canons furent déplacés et installés dans un chemin creux en arrière du site. Finalement, seulement deux casemates furent achevées. Du 15 avril au 5 juin 1944, la batterie de la Pointe du Hoc reçu plusieurs centaines de tonnes de bombes qui ont littéralement donné au terrain un aspect lunaire. Le 6 juin 1944, la batterie fut attaquée par un groupe de 225 Rangers. Ces commandos parfaitement entraînés avaient pour objectif la neutralisation des canons. Après l'escalade périlleuse de la falaise, les Rangers atteignirent le sommet et découvrirent que les encuvements étaient vides. Seuls des leurres en bois étaient présents. Des combats acharnés furent néanmoins nécessaires pour sécuriser les bunkers du site. Il fallut attendre le 8 juin au matin pour que les Rangers, isolés sur la Pointe du Hoc, soient ravitaillés et fassent leur jonction avec les troupes débarquées sur Omaha Beach. Après une longue période d'abandon, le site de la Pointe du Hoc a été concédé aux autorités américaines qui l'ont aménagé pour en faire un musée à ciel ouvert. C'est aujourd'hui l'un des sites les plus visités de Normandie. Tous les ouvrages sont encore visibles ainsi que tous les cratères de bombes. Ces vestiges en font donc un site unique en Normandie.

Photographie(s)

Présentation

Nom codifié d'origine : Stp 75

Secteur allemand : KVA H2 - KVG Bayeux - KVU Vire

Secteur Pinczon du Sel : De Port en Bessin à la Vire

Typologie allemande : Küsten-Artillerie-Batterie

Typologie anglaise : Coastal artillery battery

Typologie française : Batterie d’artillerie côtière

Armement : forces terrestres allemandes

Nombre d'élément du site : 30

Nombre d'éléments visible du site : 30

Taux de visibilité : 100 %

Approche patrimoniale

Intérêt exceptionnel : oui

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

ZPPA : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Propriétaire : public

Bibliographie

PINCZON DU SEL, Rapport de la marine nationale, 1947, SHD, Cherbourg, livre III, Fascicule I, Chapitre VI, De Port en Bessin à la Vire, page(s) : 90 - 91

CHAZETTE Alain, LEMONNIER Cédric, Paich Bernard, Atlantikwall. Omaha Beach, Vertou, Editions Histoire & Fortifications, 2014, page(s) : 84 à 90

CHAZETTE Alain, Mur de l'Atlantique. Les batteries de côte en Normandie du Havre à Cherbourg, Vertou, Editions Histoire et fortifications, 2011, page(s) : 135 à 141

CHAZETTE Alain, Vision du Mur de l’Atlantique du Havre à Cherbourg en 80 photos d’exception ou inédites, Editions Histoire et fortifications, Paris, 2009, page(s) : 18 à 20

VON KEUSGEN Helmut-Konrad, Pointe du Hoc : Énigme autour d'un point d'appui allemand, Editions Heimdal, Bayeux, 2006

BARDE Yves, La Muraille de Normandie. Le Mur de l'Atlantique de Cherbourg au Havre, Paris, Editions Citedis, 1999, page(s) : 87

CHAZETTE Alain, Le mur de l’Atlantique en Normandie, Bayeux, Editions Heimdal, 2000, page(s) : 58 à 61

Suivi

Auteur : Benoît Labbey

S001_E001

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Tobrouk
Typologie : Bf. 58c
Descripteur : Élément de défense rapprochée

Désignation

Tobrouk construit en béton armé et assurant la défense rapprochée de la batterie de la Pointe du Hoc. Cet élément se compose d'un poste circulaire de tir ou de guet et d'un petit couloir d'accès. Situé à l'extrémité est de la position, il avait pour fonction de surveiller et défendre les abords. Ce tobrouk est toujours visible à l'heure actuelle. Il est en très bon état malgré la présence d'un imposant cratère de bombe juste à coté.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : bon

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : dégradation due à l'abandon

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E002

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : Regelbau 621
Descripteur : Abri pour personnels

Désignation

Abri pour personnel construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément situé dans la partie est du site se compose d'une unique pièce desservie par un couloir à deux entrées. En face de chaque entrée, un créneau de tir permettait d'ouvrir le feu sur un éventuel assaillant. Sur le coté de l'abri, un tobrouk dont l'entrée se fait par l'extérieur assure la défense rapprochée. Cet abri était destiné au logement d'un groupe de combat. A l'heure actuelle, cet élément est toujours visible même si les bombardements l'ont en partie remblayé. Il est en bon état. Les portes blindées sont toujours présentes à l'intérieur.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E003

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Ringstellung
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément accueillait en 1944 un canon de 155 mm français modèle K.418 (f) GPF qui prenait place sur une plaque rotative lui permettant de tirer sur 360°. L'encuvement disposait, à l'arrière, d'un couloir d'accès qui permettait d'amener le canon, de niches à munitions réparties sur les cotés et d'une pièce qui pouvait abriter les servants du canon. Le principal problème avec ce type d'encuvement est la vulnérabilité du canon lors d'un bombardement. Aussi, le 6 juin 1944, l'encuvement est vide. Le canon avait été transféré dans un chemin creux en arrière du site en attendant la construction d'une casemate. Au matin du 6 juin, les Rangers découvrirent seulement des poteaux en bois installés dans l'encuvement afin de leurrer les avions alliés. Tous les encuvement ont été touchés par les bombardements successifs qui ont eu lieu dès le mois d'avril 1944. Six encuvements identiques se trouvent sur le site de la Pointe du Hoc et à l'heure actuelle celui-ci est parmi les mieux conservés.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : moyen

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E004

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : L409A
Descripteur : Abri pour personnels

Désignation

Abri modèle L409A construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément situé à l'extrémité est du site était chargé de la défense antiaérienne. Il fonctionne sur deux niveaux. En sous-sol se trouvent deux pièces desservies par un couloir à deux entrées. Un créneau de tir a été aménagé en face de chaque entrée pour permettre de se défendre contre un éventuel assaillant. Sur le toit de l'abri se trouve un encuvement octogonal disposant de niches à munitions. Un escalier le relie à l'entrée de l'abri. Le 6 juin 1944, un canon de 37 mm Flak 36 était installé dans cet encuvement et devait protéger le site particulièrement exposé aux raids aériens. A l'heure actuelle, cet élément est toujours visible. Il a été aménagé avec une plate-forme disposant de deux escaliers pour permettre aux visiteurs de voir l'endroit où les Rangers ont escaladé la falaise le matin du 6 juin 1944 et où le colonel Rudder a installé son poste de commandement.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : oui

Calibre : 20 a 50

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : bon

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E005

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Munitionsbunker
Descripteur : Soute à munitions

Désignation

Petite soute construite en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément assurait le stockage de munitions et est situé à proximité d'un canon antiaérien. La soute a souffert des bombardements et aujourd'hui seule la dalle supérieure est toujours visible.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : très mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E006

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Regelbau 134
Typologie : R. 134
Descripteur : Soute à munitions

Désignation

Grande soute à munitions construite en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cette soute est composée de deux pièces juxtaposées. On y accède par un couloir ouvert aux deux extrémités et disposant d'escaliers. Chaque pièce fermait par une porte blindée à deux battants (toujours présentes à l'heure actuelle et en bon état). Aux deux accès de la soute, une avancée couverte en béton avait été ajoutée afin d'augmenter la protection. A l'heure actuelle elles ont basculé sous l'effet d'une probable explosion. Cet élément assurant le stockage des charges et obus a été implanté entre deux encuvements pour canon de 155 mm afin de faciliter le ravitaillement des pièces d'artillerie. Il existait trois soutes identiques mais celle-ci reste la mieux conservée. Elle est toujours bien visible et est en très bon état de conservation.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : bon

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E007

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Ringstellung
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément accueillait en 1944 un canon de 155 mm français modèle K.418 (f) GPF qui prenait place sur une plaque rotative lui permettant de tirer sur 360°. L'encuvement disposait, à l'arrière, d'un couloir d'accès qui permettait d'amener le canon, de niches à munitions réparties sur les cotés et d'une pièce qui pouvait abriter les servants du canon. Le principal problème avec ce type d'encuvement est la vulnérabilité du canon lors d'un bombardement. Aussi, le 6 juin 1944, l'encuvement est vide. Le canon avait été transféré dans un chemin creux en arrière du site en attendant la construction d'une casemate. Au matin du 6 juin, les Rangers découvrirent seulement des poteaux en bois installés dans l'encuvement afin de leurrer les avions alliés. Tous les encuvement ont été touchés par les bombardements successifs qui ont eu lieu dès le mois d'avril 1944. Six encuvements identiques se trouvent sur le site de la Pointe du Hoc et à l'heure actuelle celui-ci est parmi les mieux conservés.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : moyen

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E008

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : Regelbau 502
Descripteur : Abri pour personnels

Désignation

Abri pour personnel construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément situé au centre du site se compose de deux grandes pièces et d'un petit local desservis par un couloir à deux entrées. En face de chaque entrée, un créneau de tir permettait d'ouvrir le feu sur un éventuel assaillant. Sur le coté de l'abri, un tobrouk dont l'entrée se fait par l'extérieur assure la défense rapprochée. Cet abri était destiné au logement de deux groupes de combat. A l'heure actuelle, cet élément est toujours visible même si les bombardements l'ont en partie remblayé. Il est en bon état. Les portes blindées sont toujours présentes à l'intérieur.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : moyen

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E009

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : Regelbau 694
Descripteur : Casemate d’artillerie

Désignation

Casemate type Regelbau 694 numérotée Bw. 466 pour pièce d'artillerie construite en béton armé à partir d'un coffrage perdu en parpaings. Cette casemate était destinée à recevoir un canon de 155 mm. Elle aurait dû assurer la protection d'un canon auparavant placé dans un encuvement à ciel ouvert. Les travaux de construction ayant débuté peu de temps avant le 6 juin 1944, la casemate ne fut jamais achevée et seules les fondations furent préparées. On observe encore aujourd'hui des sacs de ciment"fossilisés" autour d'un amas de parpaings et de ferraille tordues. Sur les six casemates qui auraient dû voir le jour, seules deux ont été achevées. Les travaux de celle-ci ont été stoppés et détruits par les bombardements préalables au débarquement. A l'heure actuelle, les vestiges du chantier de la casemate sont toujours visibles.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : parpaing

Technique de construction : coffrage perdu

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E010

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Ringstellung
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément accueillait en 1944 un canon de 155 mm français modèle K.418 (f) GPF qui prenait place sur une plaque rotative lui permettant de tirer sur 360°. L'encuvement disposait, à l'arrière, d'un couloir d'accès qui permettait d'amener le canon, de niches à munitions réparties sur les cotés et d'une pièce qui pouvait abriter les servants du canon. Le principal problème avec ce type d'encuvement est la vulnérabilité du canon lors d'un bombardement. Aussi, le 6 juin 1944, l'encuvement est vide. Le canon avait été transféré dans un chemin creux en arrière du site en attendant la construction d'une casemate. Au matin du 6 juin, les Rangers découvrirent seulement des poteaux en bois installés dans l'encuvement afin de leurrer les avions alliés. Tous les encuvement ont été touchés par les bombardements successifs qui ont eu lieu dès le mois d'avril 1944. Six encuvements identiques se trouvent sur le site de la Pointe du Hoc et à l'heure actuelle celui-ci reste en bon état.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : bon

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E011

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Regelbau 134
Typologie : R. 134
Descripteur : Soute à munitions

Désignation

Grande soute à munitions construite en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cette soute est composée de deux pièces juxtaposées. On y accède par un couloir ouvert aux deux extrémités. Chaque pièce fermait par une porte blindée à deux battants. Deux rails sont encore visibles dans le couloir ce qui laisse supposer que des wagons étaient présents pour faciliter le transport des obus. Aux deux accès de la soute, une avancée couverte en béton avait été ajoutée afin d'augmenter la protection. Cet élément assurant le stockage des charges et obus a été implanté entre deux encuvements pour canon de 155 mm afin de faciliter le ravitaillement des pièces d'artillerie. Il existait trois soutes identiques mais celle-ci est la seule à présenter des rails. La soute est toujours bien visible mais a été en grande partie soufflée par des actions de désobusage pour les troupes américaines après le 6 juin 1944.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : oui

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E012

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : Regelbau 694
Descripteur : Casemate d’artillerie

Désignation

Casemate type Regelbau 694 numérotée Bw. 467 pour pièce d'artillerie construite en béton armé à partir d'un coffrage perdu en parpaings. Cette casemate était destinée à recevoir un canon de 155 mm. Elle aurait dû assurer la protection d'un canon auparavant placé dans un encuvement à ciel ouvert. Les travaux de construction ayant débuté peu de temps avant le 6 juin 1944, les troupes allemandes déplacèrent les canons en arrière du site et la casemate est restée vide. Cet élément se compose d'une chambre de tir circulaire desservie par un couloir aboutissant sur une porte d'accès. De part et d'autre du couloir, on trouve deux soutes destinées au stockage de munitions. Sur les six casemates qui auraient dû voir le jour, seules deux ont été achevées. Celle-ci est la moins endommagée des deux existantes bien qu'elle présente quand même plusieurs impacts. A l'heure actuelle, la casemate est toujours visible et une plate-forme munie de deux escaliers a été installée. Elle permet aux nombreux visiteurs d'avoir une vue à 360° sur le site de la Pointe du Hoc depuis le toit de la casemate.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : parpaing

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : bon

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E013

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : Regelbau 636
Descripteur : Poste de direction de tir

Désignation

Imposant poste de direction de tir construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément est situé tout au bord de la falaise, non loin de la pointe rocheuse qui a donné son nom au site. Il fonctionne sur deux niveaux et se compose de cinq pièces principales dédiées à l'étude des cartes, aux transmissions et au cantonnement des soldats chargés de la surveillance du littoral. Ce poste dispose également d'une salle d'observation bénéficiant d'une fente horizontale qui offre un champ de vision sur 180°. L'entrée du poste est défendue par une caponnière mais également par un créneau de tir installé juste en face de l'escalier d'accès. Un tobrouk prend place sur le toit de l'ouvrage et renforce la défense. Enfin, toujours sur le toit, on trouve une cuve carrée prévue pour le télémètre. Cet appareil permettait de fournir des coordonnées de tir précis aux artilleurs. Plusieurs photographies prises après le 6 juin 1944 montrent qu'un camouflage imitant la roche avait été appliqué par les allemands sur la partie avant du poste. Il a malheureusement disparu depuis. Il est intéressant de noter qu'un local fait de briques et de béton a été accolé à l'ouvrage et faisait office de cantine pour les gradés du site. Autre particularité, un mur de renfort d'un mètre cinquante d'épaisseur a été ajouté le long du mur ouest de l'ouvrage. Une porte métallique d'origine est toujours présente à l'intérieur de l'ouvrage. Bien que cet élément soit situé au bord de la falaise, il n'a absolument pas été touché par les bombardements et est en très bon état. Il est aujourd'hui aménagé pour la visite. Une plaque commémorative en l'honneur des Rangers se trouve à l'intérieur et sur le toit se trouve désormais un monument inauguré par le président Reagan symbolisant la dague des Rangers.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : bon

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : dégradation due à l'abandon

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : oui

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E014

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Ringstellung
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément accueillait en 1944 un canon de 155 mm français modèle K.418 (f) GPF qui prenait place sur une plaque rotative lui permettant de tirer sur 360°. L'encuvement disposait, à l'arrière, d'un couloir d'accès qui permettait d'amener le canon, de niches à munitions réparties sur les cotés et d'une pièce qui pouvait abriter les servants du canon. Le principal problème avec ce type d'encuvement est la vulnérabilité du canon lors d'un bombardement. Aussi, le 6 juin 1944, l'encuvement est vide. Le canon avait été transféré dans un chemin creux en arrière du site en attendant la construction d'une casemate. Au matin du 6 juin, les Rangers découvrirent seulement des poteaux en bois installés dans l'encuvement afin de leurrer les avions alliés. Tous les encuvement ont été durement touchés par les bombardements successifs qui ont eu lieu dès le mois d'avril 1944. Six encuvements identiques se trouvent sur le site de la Pointe du Hoc et à l'heure actuelle celui-ci est le plus endommagé. Il a été pulvérisé par les bombardements.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E015

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : Regelbau 501
Descripteur : Abri pour personnels

Désignation

Abri pour personnel construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément situé en plein centre du site faisait office de poste de commandement pour le chef de la batterie. Il se compose d'une unique pièce possédant un petit local. Un couloir d'accès dessert cet abri. Un créneau de tir permettant de se défense contre un éventuel assaillant est aménagé juste en face de l'entrée de l'abri. Un tobrouk a été ajouté sur le coté de l'abri et un massif de renfort a été construit sur le coté nord afin de doubler l'épaisseur du mur exposé à la mer. A l'heure actuelle, cet élément est toujours visible. Les bombardements ont déséquilibré les différents massifs qui composent cet élément et ont remblayé l'entrée. L'abri reste néanmoins en bon état et une porte blindée est toujours présente à l'intérieur.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E016

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Munitionsbunker
Descripteur : Soute à munitions

Désignation

Probable soute construite en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément a probablement servi au stockage de munitions et est situé directement le long de l'abri faisant office de poste de commandement. L'ensemble a souffert à cause des bombardements. L'intérieur est en grande partie effondré et seule la dalle de couverture est encore bien visible.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : très mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E017

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Wellblech
Descripteur : Abri de stockage (matériels militaires)

Désignation

Abri léger construit en parpaings et tôles ondulées dites"tôles métro". Au regard du mode de construction de cet abri, il est peu probable qu'il ait abrité des troupes. En revanche, ce type de construction convient très bien pour abriter du matériel ou des munitions. Cet élément est toujours visible mais en mauvais état et en partie remblayé.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : parpaing

Type de matériau : mur maçonné

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : très mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E018

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Wellblech
Descripteur : Abri de stockage (matériels militaires)

Désignation

Abri léger construit en parpaings et tôles ondulées dites"tôles métro". Au regard du mode de construction de cet abri, il est peu probable qu'il ait abrité des troupes. En revanche, ce type de construction convient très bien pour abriter du matériel ou des munitions. Cet élément est toujours visible mais en mauvais état et en grande partie remblayé.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : parpaing

Type de matériau : mur maçonné

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : très mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E019

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Zisterne
Descripteur : Réservoir d’eau (citerne à eau)

Désignation

Grande citerne construite en béton armé et assurant le stockage de l'eau lors de la construction des différents éléments du site. Cette citerne rectangulaire profonde d'environ deux mètres a été touchée de plein fouet par les bombardements et à l'heure actuelle seule la moitié de cet élément est toujours visible. Le reste a été pulvérisé.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E020

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : Regelbau 502
Descripteur : Abri pour personnels

Désignation

Abri pour personnel construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément situé au centre du site se compose de deux grandes pièces et d'un petit local desservis par un couloir à deux entrées. En face de chaque entrée, un créneau de tir permettait d'ouvrir le feu sur un éventuel assaillant. Sur le coté de l'abri, un tobrouk dont l'entrée se fait par l'extérieur assure la défense rapprochée. Cet abri était destiné au logement de deux groupes de combat. A l'heure actuelle, cet élément est toujours visible et demeure en très bon état. Il a été aménagé avec un escalier d'accès et l'électricité est présent à l'intérieur. Une porte métallique est toujours présente à l'intérieur.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : bon

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : dégradation due à l'abandon

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E021

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Ringstellung
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément accueillait en 1944 un canon de 155 mm français modèle K.418 (f) GPF qui prenait place sur une plaque rotative lui permettant de tirer sur 360°. L'encuvement disposait, à l'arrière, d'un couloir d'accès qui permettait d'amener le canon, de niches à munitions réparties sur les cotés et d'une pièce qui pouvait abriter les servants du canon. Le principal problème avec ce type d'encuvement est la vulnérabilité du canon lors d'un bombardement. Aussi, le 6 juin 1944, l'encuvement est vide. Le canon avait été transféré dans un chemin creux en arrière du site en attendant la construction d'une casemate. Au matin du 6 juin, les Rangers découvrirent seulement des poteaux en bois installés dans l'encuvement afin de leurrer les avions alliés. Une casemate destinée à abriter un canon a été construite en partie sur l'encuvement. Pour ce faire, les troupes allemandes ont volontairement détruit la moitié de cet élément pour installer les fondations de la casemate. Tous les encuvement ont été durement touchés par les bombardements successifs qui ont eu lieu dès le mois d'avril 1944. Six encuvements identiques se trouvent sur le site de la Pointe du Hoc et à l'heure actuelle celui-ci est parmi les moins bien conservés.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E022

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : Regelbau 694
Descripteur : Casemate d’artillerie

Désignation

Casemate type Regelbau 694 numérotée Bw. 468 pour pièce d'artillerie construite en béton armé à partir d'un coffrage perdu en parpaings. Cette casemate était destinée à recevoir un canon de 155 mm. Elle aurait dû assurer la protection d'un canon auparavant placé dans un encuvement à ciel ouvert. Les travaux de construction ayant débuté peu de temps avant le 6 juin 1944, les troupes allemandes déplacèrent les canons en arrière du site et la casemate est restée vide. Cet élément se compose d'une chambre de tir circulaire desservie par un couloir aboutissant sur une porte d'accès. De part et d'autre du couloir, on trouve deux soutes destinées au stockage de munitions. Cet élément a été implanté en partie sur un des encuvements devenus obsolètes. Pour ce faire, une partie de l'encuvement a été détruite afin de mettre en place les fondations de la casemate. Sur les six casemates qui auraient dû voir le jour, seules deux ont été achevées. Celle-ci est la plus endommagée des deux existantes et présente plusieurs impacts importants. A l'heure actuelle, la casemate est toujours visible.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : parpaing

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : bon

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E023

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Regelbau 134
Typologie : R. 134
Descripteur : Soute à munitions

Désignation

Grande soute à munitions construite en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cette soute était composée de deux pièces juxtaposées. On y accédait par un couloir ouvert aux deux extrémités. Chaque pièce fermait par une porte blindée à deux battants. Aux deux accès de la soute, une avancée couverte en béton avait été ajoutée afin d'augmenter la protection. Cet élément assurant le stockage des charges et obus a été implanté entre deux encuvements pour canon de 155 mm afin de faciliter le ravitaillement des pièces d'artillerie. Il existait trois soutes identiques mais celle-ci est totalement méconnaissable. Peu après le 6 juin 1944, les troupes américaines procédèrent à des opérations de désobusage et de test et la soute a été complètement pulvérisée à la suite d'une violente explosion. Des morceaux sont dispersés tout autour. Les restes de la soute sont néanmoins toujours visibles à l'heure actuelle.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : très mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E024

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Ringstellung
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément accueillait en 1944 un canon de 155 mm français modèle K.418 (f) GPF qui prenait place sur une plaque rotative lui permettant de tirer sur 360°. L'encuvement disposait, à l'arrière, d'un couloir d'accès qui permettait d'amener le canon, de niches à munitions réparties sur les cotés et d'une pièce qui pouvait abriter les servants du canon. Le principal problème avec ce type d'encuvement est la vulnérabilité du canon lors d'un bombardement. Aussi, le 6 juin 1944, l'encuvement est vide. Le canon avait été transféré dans un chemin creux en arrière du site en attendant la construction d'une casemate. Au matin du 6 juin, les Rangers découvrirent seulement des poteaux en bois installés dans l'encuvement afin de leurrer les avions alliés. Tous les encuvement ont été durement touchés par les bombardements successifs qui ont eu lieu dès le mois d'avril 1944. Six encuvements identiques se trouvent sur le site de la Pointe du Hoc et à l'heure actuelle celui-ci est parmi les mieux conservés.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : moyen

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E025

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Descripteur : Abri (indéterminé)

Désignation

Petit abri non identifié précisément construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Au premier abord, cet ouvrage fait penser à une sorte de citerne. Il ne s'agit que d'une hypothèse puisque très peu de documentation existe sur ce genre de construction atypique. Cet élément est accolé à un grand abri faisant office d'infirmerie et il est fort probable que sa fonction ait un lien avec le domaine sanitaire.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : moyen

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : dégradation due à l'abandon

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E026

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : Regelbau 661
Descripteur : Abri pour personnels

Désignation

Grand abri infirmerie construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément implanté sur les arrières du site avait pour fonction de donner les premiers soins aux soldats blessés. Il se compose de deux grandes pièces desservies par un couloir d'accès à deux entrées. Chaque entrée est protégée par un créneau de tir et un tobrouk accolé à l'édifice vient compléter la défense rapprochée. Deux autres constructions plus légères ont été ajoutées à cet abri. Il est probable qu'elles aient été liées au stockage de vivres ou de matériel. L'une des deux constructions a été touchée par les bombardements mais l'autre demeure en bon état. A l'heure actuelle l'abri infirmerie est toujours visible. Il est en très bon état et a été aménagé pour les visiteurs.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : bon

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : dégradation due à l'abandon

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E027

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : L409A
Descripteur : Abri pour personnels

Désignation

Abri modèle L409A construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément situé à l'extrémité est du site était chargé de la défense antiaérienne. Il fonctionne sur deux niveaux. En sous-sol se trouvent deux pièces desservies par un couloir à deux entrées. Un créneau de tir a été aménagé en face de chaque entrée pour permettre de se défendre contre un éventuel assaillant. Sur le toit de l'abri se trouve un encuvement octogonal disposant de niches à munitions. Un escalier relie l'encuvement à l'entrée de l'abri. Le 6 juin 1944, un canon de 37 mm Flak 36 était installé dans l'encuvement et devait protéger le site particulièrement exposé aux raids aériens. A l'heure actuelle, cet élément est toujours visible. Il a été endommagé par les bombardements mais l'intérieur est très bien conservé. Une porte blindée subsiste encore en place.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : parpaing

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : oui

Calibre : 20 a 50

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : bon

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E028

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Descripteur : Route

Désignation

Piste en béton armé longue d'environ vingt mètres et large de deux mètres. Cet élément est orienté vers une casemate en construction mais sa fonction n'a pas été clairement établie. Elle demeure bien visible mais a été endommagée par les bombardements.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : moyen

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E029

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Typologie : Regelbau 694
Descripteur : Casemate d’artillerie

Désignation

Casemate type Regelbau 694 numérotée Bw. 465 pour pièce d'artillerie construite en béton armé à partir d'un coffrage perdu en parpaings. Cette casemate était destinée à recevoir un canon de 155 mm. Elle aurait dû assurer la protection d'un canon auparavant placé dans un encuvement à ciel ouvert. Les travaux de construction ayant débuté peu de temps avant le 6 juin 1944, la casemate ne fut jamais achevée et seules les fondations furent préparées. Sur les six casemates qui auraient dû voir le jour, seules deux ont été achevées. Les travaux de celle-ci ont été stoppés et détruits par les bombardements préalables au débarquement. A l'heure actuelle, les vestiges du chantier de la casemate sont toujours visibles.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : parpaing

Technique de construction : coffrage perdu

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : très mauvais

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : destruction liée à un fait de guerre

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S001_E030

Nom du site : La Pointe du Hoc
Type de site : 1 - Position de tir
Descripteur : Poste d’observation

Désignation

Petit ouvrage réalisé en béton armé situé tout au bord de la falaise en avant du poste de direction de tir. Cet élément de très petite taille se limite à une unique pièce desservie par un couloir. Il dispose d'une ouverture pouvant servir à l'observation et la surveillance mais également pouvant office de poste de tir. Aujourd'hui situé en avant du réseau de barbelés, cet ouvrage menacé par l'érosion n'est plus accessible mais demeure toujours visible.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : péril

Altération chimique : non

Altération biologique : non

Altération structurelle : non

Environnement : zone naturelle non exploitée

Danger : oui

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : dégradation due à l'abandon

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : Conservatoire du Littoral

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

CRICQUEVILLE-EN-BESSIN-14204_S002

Type de site : 1 - Position de tir
Commune : CRICQUEVILLE-EN-BESSIN Lieu-dit : Le Moulin de Cricqueville

Désignation

Petit nid de résistance léger implanté à l'Ouest de la Pointe du Hoc en bordure de falaise. Ce site dominant la plage de galets d'une vingtaine de mètres était chargé de la surveillance du littoral. Il disposait pour cela d'un projecteur de 150 cm. La garnison du Wn 76 disposait de plusieurs petits abris légers enterrés pour s'abriter. L'armement se limitait à une ou deux mitrailleuses. Une unique tranchée desservait les aménagements entre eux. Une fois la guerre terminée, le champ environnant le site a été remis en culture et toutes les structures ont été remblayées. A l'heure actuelle il ne reste plus aucune trace du Wn 76.

Photographie(s)

Présentation

Nom codifié d'origine : Wn 76

Secteur allemand : KVA H2 - KVG Bayeux - KVU Vire

Secteur Pinczon du Sel : De Port en Bessin à la Vire

Typologie allemande : Widerstandnest

Typologie anglaise : Resistance nest

Typologie française : Nid de résistance

Armement : forces terrestres allemandes

Nombre d'élément du site : 3

Nombre d'éléments visible du site : 0

Taux de visibilité : 0 %

Approche patrimoniale

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

ZPPA : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Propriétaire : privé

Bibliographie

CHAZETTE Alain, LEMONNIER Cédric, PAICH Bernard, Atlantikwall. Omaha Beach, Editions Histoire & Fortifications, 2013, page(s) : 91

Suivi

Auteur : Benoît Labbey

S002_E001

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Unterstand
Descripteur : Abri (indéterminé)

Désignation

Abri enterré indéterminé réalisé en bois et recouvert de terre. Il ne devait disposer que d'une unique pièce et assurait très probablement le cantonnement des soldats du site. Au moment de la remise en culture de la parcelle, cet abri fut remblayé. Il ne reste aujourd'hui plus qu'une trace à la surface du champ.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Type de matériau : bois

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S002_E002

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Unterstand
Descripteur : Abri (indéterminé)

Désignation

Abri enterré indéterminé réalisé en bois et recouvert de terre. Il ne devait disposer que d'une unique pièce et assurait très probablement le cantonnement des soldats du site. Au moment de la remise en culture de la parcelle, cet abri fut remblayé. Il ne reste aujourd'hui plus aucune trace à la surface du champ.

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Type de matériau : bois

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S002_E003

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Unterstand
Descripteur : Abri (indéterminé)

Désignation

Abri enterré indéterminé réalisé en bois et recouvert de terre. Il ne devait disposer que d'une unique pièce et assurait très probablement le cantonnement des soldats du site. Au moment de la remise en culture de la parcelle, cet abri fut remblayé. Il ne reste aujourd'hui plus aucune trace à la surface du champ.

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Type de matériau : bois

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

CRICQUEVILLE-EN-BESSIN-14204_S003

Type de site : 1 - Position de tir
Commune : CRICQUEVILLE-EN-BESSIN Lieu-dit : Le Pont du Hable

Désignation

Nid de résistance implanté au lieu-dit le Pont du Hable et chargé de la défense rapprochée du rivage. Ce petit site surplombe un ruisseau marquant la limite Ouest des hautes falaises du Bessin. Au delà, en direction de Grandcamp-Maisy, on retrouve une côte basse principalement caractérisée par un cordon dunaire. L'armement du Wn 77 reposait sur deux mortiers de 50 mm installés dans deux tobrouks. Une tourelle de char modèle FT ainsi que trois tobrouks pour mitrailleuses complétaient la défense rapprochée et balayaient la plage. La garnison logeait dans plusieurs abris situés au centre de la position. L'ensemble des ouvrages était desservi par un réseau de tranchées dont certaines traces sont encore visibles à l'heure actuelle. Le site du Wn 77 a connu une importante urbanisation à partir du début des années 1970. Plusieurs ouvrages sont désormais intégrés entre des habitations sur des propriétés privées. La majeure partie des éléments reste néanmoins visible et demeure en bon état.

Photographie(s)

Présentation

Nom codifié d'origine : Wn 77

Secteur allemand : KVA H2 - KVG Bayeux - KVU Vire

Secteur Pinczon du Sel : De Port en Bessin à la Vire

Typologie allemande : Widerstandnest

Typologie anglaise : Resistance nest

Typologie française : Nid de résistance

Armement : forces terrestres allemandes

Nombre d'élément du site : 13

Nombre d'éléments visible du site : 10

Taux de visibilité : 77 %

Approche patrimoniale

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

ZPPA : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Propriétaire : mixte

Bibliographie

CHAZETTE Alain, LEMONNIER Cédric, PAICH Bernard, Atlantikwall. Omaha Beach, Editions Histoire & Fortifications, 2013, page(s) : 97 - 98

Suivi

Auteur : Benoît Labbey

S003_E001

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Panzermauer
Descripteur : Obstacle (mur antichar)

Désignation

Mur antichar réalisé en béton armé et destiné à barrer l'accès à un chemin reliant la plage à l'intérieur des terres. Ce mur, long de plusieurs mètres, n'est malheureusement plus entièrement visible à l'heure actuelle. Sa hauteur ne devait pas dépasser un mètre cinquante mais était largement suffisante pour empêcher le passage de tout véhicule. Aujourd'hui, le mur est en partie recouvert par un enrochement récent mais reste en bon état de conservation.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : moyen

Environnement : environnement urbanisé dispersé

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : urbanisation

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : public

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E002

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Tobrouk
Typologie : Bf.61a
Descripteur : Élément de défense rapprochée

Désignation

Ringstand pour mortier construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément se compose d'une chambre de tir et d'une petite pièce attenante servant au stockage des munitions. L'ouverture est ici octogonale. En 1944, un mortier de 50 mm modèle le.Gr.W.201 (b) ou Fest.Gr.W.210 (f) équipait cet encuvement. Aujourd'hui, cet élément se situe sur une propriété privée et est en très bon état de conservation.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : moyen

Environnement : environnement urbanisé dispersé

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : dégradation due à l'abandon

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E003

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Tobrouk
Typologie : 1699
Descripteur : Élément de défense rapprochée

Désignation

Tobrouk construit en béton armé et assurant la défense rapprochée du Wn 77. Cet élément se compose d'un poste circulaire de tir ou de guet et d'un petit couloir d'accès. Situé à flanc de colline dans la partie Ouest de la position, il avait pour fonction de surveiller et défendre le sentier qui mène à la plage. Une mitrailleuse type MG.30 (p) ou MG.34 pouvait être installée sur un plot cylindrique en béton faisant office de support. Ce tobrouk est toujours visible à l'heure actuelle sur une propriété privée. Il demeure en bon état.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 0 – 50%

Etat sanitaire : moyen

Environnement : environnement urbanisé dispersé

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : dégradation due à l'abandon

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E004

Type de site : 1 - Position de tir
Descripteur : Autre

Désignation

Élément indéterminé construit en béton armé. Ce vestige se traduit par une dalle d'environ un mètre carré en grande partie remblayée. Elle se situe au milieu d'un champ cultivé et il est extrêmement difficile de savoir de quoi il s'agit. On peut penser que nous sommes en présence d'une petite niche à munitions. Faute de preuves, nous en resterons à l'hypothèse.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : indéterminé

Etat sanitaire : très mauvais

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E005

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Unterstand
Descripteur : Abri pour personnels

Désignation

Abri pour personnel construit en béton armé destiné au cantonnement des soldats du Wn 77. Cet élément se trouvait au centre de la position. Il est impossible de connaître son agencement puisqu'il est aujourd'hui totalement remblayé. Il se trouve au milieu d'un champ cultivé.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : indéterminé

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E006

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Tobrouk
Typologie : 1699
Descripteur : Élément de défense rapprochée

Désignation

Tobrouk construit en béton armé et assurant la défense rapprochée du Wn 77. Cet élément se compose d'un poste circulaire de tir ou de guet et d'un petit couloir d'accès. Situé au Sud de la position, il avait pour fonction de surveiller et défendre les arrières du Wn 77. Une mitrailleuse type MG.30 (p) ou MG.34 pouvait être installée sur un plot cylindrique en béton faisant office de support. Ce tobrouk est toujours visible à l'heure actuelle au milieu d'un champ. Il est en partie remblayé et rempli de détritus.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : très mauvais

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E007

Type de site : 1 - Position de tir
Descripteur : Poste d’observation

Désignation

Petit poste construit en béton armé implanté au Nord de la position en bordure de falaise. Cet élément atypique pourrait être identifié comme un poste de guet ou d'observation. Il prend la forme d'un tobrouk dont l'ouverture circulaire a été diminuée de moitié par une dalle de couverture. Par ailleurs, ses dimensions réduites suggèrent que cet élément ne peut accueillir qu'un seul homme. On peut donc penser qu'il s'agissait d'un poste d'observation assurant la surveillance de la mer. Aujourd'hui, cet élément est en partie remblayé mais demeure en bon état.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : mauvais

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E008

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Tobrouk
Typologie : Bf.61a
Descripteur : Élément de défense rapprochée

Désignation

Ringstand pour mortier construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément se compose d'une chambre de tir et d'une petite pièce attenante servant au stockage des munitions. L'ouverture est ici octogonale. En 1944, un mortier de 50 mm modèle le.Gr.W.201 (b) ou Fest.Gr.W.210 (f) équipait cet encuvement. Aujourd'hui, cet élément se situe sur une propriété privée et est en très bon état de conservation.

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : moyen

Environnement : environnement urbanisé dense

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : dégradation due à l'abandon

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E009

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Tobrouk
Typologie : Vf.15
Descripteur : Élément de défense rapprochée

Désignation

Tobrouk construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois chargé de la défense rapprochée du rivage. En 1944, cet élément était surmonté d'une tourelle de char modèle FT équipée d'une mitrailleuse MG.311 (f). Située tout au Nord de la position, la tourelle contrôlait ainsi la plage. Des photographies prises après les combats montrent que le tobrouk a été fortement endommagé. Il fut donc rapidement détruit à la fin de la guerre et n'est plus visible à l'heure actuelle.

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : environnement urbanisé dispersé

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : urbanisation

Source localisation : plan ancien

Précision localisation : imprecis

Propriétaire : public

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E010

Type de site : 1 - Position de tir
Descripteur : Plateforme d’artillerie

Désignation

Plateforme d'artillerie réalisée en béton armé disposant de deux niches à munitions. Cet élément se situe à l'extrémité Est du Wn 77 juste en bordure de falaise. La plateforme est encadrée de deux niches destinées au stockage de munitions. Un canon d'un calibre probablement inférieur à 75 mm devait se trouver sur cette élément. Il bénéficiait ainsi d'un large champ de tir sur une zone comprise entre le port de Grandcamp et la Pointe du Hoc. Aujourd'hui, cet élément se situe en bordure d'un champ cultivé et est totalement recouvert de ronces. Il demeure cependant en bon état.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : oui

DCA (Flak) : non

Calibre : 51 a 90

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : très mauvais

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : dégradation due à l'abandon

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E011

Type de site : 1 - Position de tir
Nom codifié d'origine : Tobrouk
Typologie : 1699
Descripteur : Élément de défense rapprochée

Désignation

Tobrouk construit en béton armé et assurant la défense rapprochée du Wn 77. Cet élément se compose d'un poste circulaire de tir ou de guet et d'un petit couloir d'accès. Situé à flanc de colline à l'extrémité Sud de la position, il avait pour fonction de surveiller et défendre le sentier qui mène à la plage. Une mitrailleuse type MG.30 (p) ou MG.34 pouvait être installée sur un plot cylindrique en béton faisant office de support. Ce tobrouk a été récemment dégagé lors de travaux. Il se trouve en limite d'un champ cultivé et demeure en bon état.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : bien préservé

Etat sanitaire : mauvais

Environnement : environnement urbanisé dispersé

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E012

Type de site : 1 - Position de tir
Descripteur : Tranchée ouverte

Désignation

Tranchée ouverte en zigzag creusée dans le sol servant à desservir les différents ouvrages entre eux. Elle facilitait le déplacement des soldats tout en leur évitant de s'exposer aux tirs ennemis. Aujourd'hui, seul un tronçon du réseau de tranchées est toujours visible. Il se situe en bordure de falaise et a donc moins subi la remise en culture de la parcelle après-guerre.

Photographie(s)

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Technique de construction : excavation

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : oui

Niveau de dégradation : détruit 50% – 100%

Etat sanitaire : mauvais

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : GPS polygone

Précision localisation : précis (inférieur à 1m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S003_E013

Type de site : 1 - Position de tir
Descripteur : Autre

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : indéterminé

Approche patrimoniale

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

CRICQUEVILLE-EN-BESSIN-14204_S004

Type de site : 1 - Site factice
Commune : CRICQUEVILLE-EN-BESSIN Lieu-dit : Le Bavent

Désignation

La position stratégique du site de la Pointe du Hoc avait convaincu les troupes allemandes d'y installer une puissante batterie de six canons de 155 mm. Cette concentration d'artillerie nécessitait néanmoins un certain nombre de précautions. Afin de ne pas attirer l'attention des pilotes des vols de reconnaissance alliés, la batterie devait être parfaitement camouflée. En plus des efforts pour dissimuler les ouvrages, une fausse batterie avait été aménagée afin de détourner l'attention des pilotes des bombardiers. Un site factice avait donc été implanté au sud-ouest de la Pointe du Hoc, au milieu d'un herbage en bordure de falaise. Il prenait la forme de six grandes fosses circulaires peu profondes imitant des encuvements à l'intérieur desquelles des leurres en bois faisaient office de canons. L'agencement de ces encuvements était le même que pour la batterie de la pointe du hoc de manière à ce que l'imitation soit fidèle. Des carrés tracés au sol simulaient la présence d'abris enterrés et des petits fossés rectilignes rejoignant ces aménagements laissaient penser à des tranchées. Finalement, la diversion n'eut que peu d'effet puisque l'examen de photographies aériennes de 1944 montre qu'aucune bombe n'a atteint la fausse batterie. Après la guerre, les parcelles concernées par ce site factice furent remises en état et il ne reste plus aucune trace visible de ce leurre.

Présentation

Secteur allemand : KVA H2 - KVG Bayeux - KVU Vire

Secteur Pinczon du Sel : De Port en Bessin à la Vire

Armement : forces terrestres allemandes

Nombre d'élément du site : 7

Nombre d'éléments visible du site : 0

Taux de visibilité : 0 %

Approche patrimoniale

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

ZPPA : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Propriétaire : privé

Bibliographie

CHAZETTE Alain, LEMONNIER Cédric, PAICH Bernard, Atlantikwall. Omaha Beach, Editions Histoire & Fortifications, 2013, page(s) : 91

Suivi

Auteur : Benoît Labbey

S004_E001

Type de site : 1 - Site factice
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement circulaire factice réalisé au moyen d'une excavation d'une profondeur ne dépassant pas les trente centimètres. Cet élément destiné à tromper les reconnaissances aériennes ennemies disposait d'un merlon de terre sur son pourtour provenant de son creusement. Au centre de ce dernier, un leurre réalisé à partir de poteaux recouverts de filets de camouflage simulait la présence d'un canon. Une tranchée également factice (en réalité un simple sillon tracé à même le sol) reliait cet encuvement aux autres structures factices. Une fois les combats terminés, cet aménagement a été très rapidement supprimé afin de remettre la parcelle herbagée dans son état d'avant guerre.

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Technique de construction : excavation

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S004_E002

Type de site : 1 - Site factice
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement circulaire factice réalisé au moyen d'une excavation d'une profondeur ne dépassant pas les trente centimètres. Cet élément destiné à tromper les reconnaissances aériennes ennemies disposait d'un merlon de terre sur son pourtour provenant de son creusement. Au centre de ce dernier, un leurre réalisé à partir de poteaux recouverts de filets de camouflage simulait la présence d'un canon. Une tranchée également factice (en réalité un simple sillon tracé à même le sol) reliait cet encuvement aux autres structures factices. Une fois les combats terminés, cet aménagement a été très rapidement supprimé afin de remettre la parcelle herbagée dans son état d'avant guerre.

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Technique de construction : excavation

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : indéterminé

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S004_E003

Type de site : 1 - Site factice
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement circulaire factice réalisé au moyen d'une excavation d'une profondeur ne dépassant pas les trente centimètres. Cet élément destiné à tromper les reconnaissances aériennes ennemies disposait d'un merlon de terre sur son pourtour provenant de son creusement. Au centre de ce dernier, un leurre réalisé à partir de poteaux recouverts de filets de camouflage simulait la présence d'un canon. Une tranchée également factice (en réalité un simple sillon tracé à même le sol) reliait cet encuvement aux autres structures factices. Une fois les combats terminés, cet aménagement a été très rapidement supprimé afin de remettre la parcelle herbagée dans son état d'avant guerre.

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Technique de construction : excavation

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : indéterminé

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S004_E004

Type de site : 1 - Site factice
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement circulaire factice réalisé au moyen d'une excavation d'une profondeur ne dépassant pas les trente centimètres. Cet élément destiné à tromper les reconnaissances aériennes ennemies disposait d'un merlon de terre sur son pourtour provenant de son creusement. Au centre de ce dernier, un leurre réalisé à partir de poteaux recouverts de filets de camouflage simulait la présence d'un canon. Une tranchée également factice (en réalité un simple sillon tracé à même le sol) reliait cet encuvement aux autres structures factices. Une fois les combats terminés, cet aménagement a été très rapidement supprimé afin de remettre la parcelle herbagée dans son état d'avant guerre.

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Technique de construction : excavation

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : indéterminé

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S004_E005

Type de site : 1 - Site factice
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement circulaire factice réalisé au moyen d'une excavation d'une profondeur ne dépassant pas les trente centimètres. Cet élément destiné à tromper les reconnaissances aériennes ennemies disposait d'un merlon de terre sur son pourtour provenant de son creusement. Au centre de ce dernier, un leurre réalisé à partir de poteaux recouverts de filets de camouflage simulait la présence d'un canon. Une tranchée également factice (en réalité un simple sillon tracé à même le sol) reliait cet encuvement aux autres structures factices. Une fois les combats terminés, cet aménagement a été très rapidement supprimé afin de remettre la parcelle herbagée dans son état d'avant guerre.

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Technique de construction : excavation

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : indéterminé

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S004_E006

Type de site : 1 - Site factice
Descripteur : Encuvement d’artillerie

Désignation

Encuvement circulaire factice réalisé au moyen d'une excavation d'une profondeur ne dépassant pas les trente centimètres. Cet élément destiné à tromper les reconnaissances aériennes ennemies disposait d'un merlon de terre sur son pourtour provenant de son creusement. Au centre de ce dernier, un leurre réalisé à partir de poteaux recouverts de filets de camouflage simulait la présence d'un canon. Une tranchée également factice (en réalité un simple sillon tracé à même le sol) reliait cet encuvement aux autres structures factices. Une fois les combats terminés, cet aménagement a été très rapidement supprimé afin de remettre la parcelle herbagée dans son état d'avant guerre.

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Technique de construction : excavation

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : indéterminé

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

S004_E007

Type de site : 1 - Site factice
Descripteur : Route

Désignation

Piste réalisée en terre marquant l'accès au réseau de tranchées ainsi qu'aux encuvements factices. Cet élément peu profond a rapidement disparu avec la remise en culture du terrain.

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

CRICQUEVILLE-EN-BESSIN-14204_S005

Type de site : 1 - Site de transmissions
Commune : CRICQUEVILLE-EN-BESSIN Lieu-dit : Hameau Brulé

Désignation

Petit site lié aux transmissions et composé d'un unique ouvrage. Ce petit relais téléphonique isolé dans la campagne se situe à environ deux kilomètres au sud de la batterie d'artillerie de la Pointe du Hoc. Il fait partie des nombreux relais téléphoniques qui jalonnaient la campagne et permettaient ainsi de relier grâce au téléphone les ouvrages fortifiés entre eux. Contrairement à la majorité de ces abris téléphoniques, ce petit site a été implanté à l'écart d'une voie de circulation. Il n'est desservi que par un petit chemin communal. A l'heure actuelle, l'ouvrage n'est plus visible. Il a probablement été supprimé par l'exploitant de la parcelle.

Photographie(s)

Présentation

Secteur allemand : KVA H2 - KVG Bayeux - KVU Vire

Secteur Pinczon du Sel : De Port en Bessin à la Vire

Armement : forces terrestres allemandes

Nombre d'élément du site : 1

Nombre d'éléments visible du site : 0

Taux de visibilité : 0 %

Approche patrimoniale

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

ZPPA : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Propriétaire : privé

Suivi

Auteur : Benoît Labbey

S005_E001

Type de site : 1 - Site de transmissions
Nom codifié d'origine : Kabelbunker - Kabelschaltbrunnen
Descripteur : Relais téléphonique

Désignation

Relais téléphonique également appelé puits à câbles construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Ce petit bunker se compose d'une unique pièce aux dimensions très réduites. On accède à l'intérieur du bunker par le haut grâce à une trappe métallique circulaire ou carrée qui donne accès sur des échelons en métal fixés dans la paroi. Un tuyau métallique recourbé vers le sol émerge du toit du bunker. A l'intérieur du relais on trouvait des bobines, des raccords et tous les câbles électriques des environs qui convergeaient ici. Aujourd'hui, ce petit bunker a disparu. Encore visible en 2009, il a probablement été détruit depuis par l'exploitant de la parcelle.

Gros œuvre

Type de matériau : béton armé

Technique de construction : coffrage

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : complètement détruit

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : non

Période de construction : 1940 - 6 juin 1944

Cause de destruction : remise en culture

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

CRICQUEVILLE-EN-BESSIN-14204_S006

Type de site : 1 - Infrastructure aérienne
Commune : CRICQUEVILLE-EN-BESSIN

Désignation

Le 9 juin 1944, le Génie de l'Air américain (le 843rd Engineer Aviation Battalion) entreprend la construction d'un aérodrome provisoire sur la commune de Cricqueville-en-Bessin, dans le département du Calvados (le A-2). Le 20 juin 1944, il est opérationnel et consiste en une piste de 3600 pieds en SMT (Square Mesh Track ou grillage à mailles carrées) et de 1400 pieds à chaque extrémité en terre compactée (EHT). Le tout atteint la longueur de 5000 pieds (1525 mètres). Il répond à l’ appellation"ALG" pour Advanced Landing Ground - aérodrome situé non loin des lignes de front). Il est opérationnel du 20 juin 1944 jusqu'au 15 septembre 1944 et c'est une escadrille de chasseurs bombardiers volant sur sur P-51 Mustang de la 9th Air Force qui en prend tout d’abord possession, le 354th Fighter Group. A compter du 13 août, cette escadrille est remplacée par le 367th Fighter volant sur P-38 Lightning. Ces informations sont essentiellement tirées du site internet suivant : http://www.6juin1944.com/assaut/9usaaf/9alg.php?page=a2 dédié à la9th U.S. Army Air Force en Normandie.

Présentation

Nom codifié d'origine : A-2

Nombre d'élément du site : 1

Nombre d'éléments visible du site : 0

Taux de visibilité : 0 %

Approche patrimoniale

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui

ZPPA : non

Période de construction : 6 juin – 15 novembre 1944 (fermeture du port d'Arromanches)

Propriétaire : privé

Suivi

Auteur : Benoît Labbey

S006_E001

Type de site : 1 - Infrastructure aérienne
Nom codifié d'origine : A-2
Descripteur : Aérodrome

Désignation

Ensemble composé de la piste d'envol réalisée à Cricqueville-en-Bessin sur la base d’une piste SMT (Square Mesh Track ou grillage à mailles carrées) et de terre compactée (EHT) longue de 1525 mètres.

Gros œuvre

Type de matériau : terre

Artillerie

Pièce d'artillerie présente au 6 juin 1944 : non

DCA (Flak) : non

Approche patrimoniale

Elément visible : non

Niveau de dégradation : indéterminé

Etat sanitaire : indéterminé

Environnement : terre agricole

Danger : non

Chauve-souris : oui

Période de construction : 6 juin – 15 novembre 1944 (fermeture du port d'Arromanches)

Cause de destruction : remise en culture

Source localisation : Geoportail

Précision localisation : assez précis (entre 1 m et 10 m)

Propriétaire : privé

Intérêt exceptionnel : non

Protection au titre des Monument Historique : non

Communication des données : oui