| Nom du site : Hameau du Grand Bec |
| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : VILLERVILLE | Lieu-dit : Hameau du Grand Bec |
Situé entre Trouville et Villerville, le site est à cheval sur des parcelles privées et une zone naturelle non exploitée. Il a été placé en couverture de la Batterie de Hennequeville et en défense du littoral. Il se compose de trois abris à personnels, d’une soute et d’éléments de défense rapprochée. Les Allemands devaient aussi occuper les villas environnantes. Il n’y eut pas de combats notables sur le site, ses occupants l'ayant abandonné avant l’arrivée des Alliés à la fin d’août 1944. Aujourd’hui, une partie du site a été envahi par la végétation tandis que l’autre a subi d’importants réaménagements à la construction des extensions d’une villa.

CHAZETTE Alain, Atlantikwall. Mythe ou Réalité, Vertou, Editions Histoire et Fortifications, 2008
| Nom du site : Hameau du Grand Bec |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Tobrouk |
| Typologie : Vf 58c |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Tobrouk servant à couvrir l'accès du site par la route. Actuellement, sur une propriété privée, son anneau a été muré et sert de local à poubelles.


| Nom du site : Hameau du Grand Bec |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Typologie : Regelbau 141c |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour troupe avec une chambre à munitions, un mur pare-éclat et un réservoir d'eau. Actuellement, l'ouvrage se situe dans un champ privé. Bien conservé, il a gardé des crochets servant à fixer les couchettes, l'échelle d'accès à la soute et sa peinture d'origine. L'encadrement de la porte de la chambre à munitions semble avoir été forcé à l'explosif.










| Nom du site : Hameau du Grand Bec |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Doppelgruppenuntestand |
| Typologie : Regelbau 622 |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour deux groupes de combats composés de deux chambres de troupe, d'un sas et d'un tobrouk. Actuellement, l'ouvrage se situe sur la parcelle de la villa du Grand Bec. Une route, un sous-sol et une hélisurface ont été construit ces dernières années dans la zone où se trouve l'ouvrage. Il est donc soit détruit soit enseveli. Cependant, il est visible sur les photos aériennes de 1961.
| Nom du site : Hameau du Grand Bec |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Doppelgruppenunterstand |
| Typologie : Regelbau 622 |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour deux groupes de combat composés de deux chambres de troupe, d'un sas et d'un tobrouk. L'intérieur a gardé sa peinture d'origine, ses portes blindées et les trappes coulissantes des embrasures de tirs. Des canalisations semblant être celles de l'ouvrage sont aussi posées sur le sol. Actuellement, l'ouvrage se situe sur une parcelle abandonnée à deux pas de l'hélisurface du manoir du Grand Bec et de l'ancien chantier d'une villa. Son toit a aussi servi de fondation à un cabanon qui finit aussi abandonné.















| Nom du site : Hameau du Grand Bec |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Unterstand mit angehängtem Postenstand |
| Typologie : Regelbau 59a |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Petit abri avec un poste de guet annexe servant à surveiller l'avant du site. Il se compose d'une chambre et d'un couloir dont l'une des extrémités constitue l'entrée de l'ouvrage tandis que l'autre débouche sur un tobrouk. Actuellement, l'ouvrage se situe sur la parcelle de la villa du Grand Bec. Une route, un sous-sol et une hélisurface ont été construit ces dernières années dans la zone où se trouve l'ouvrage. Il est donc soit détruit soit enseveli. Cependant, il est visible sur les photos aériennes de 1961.
| Nom du site : Hameau du Grand Bec |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
Abri indéterminé, repéré en photographie aérienne.
| Nom du site : Hameau du Grand Bec |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
Abri indéterminé, repéré en photographie aérienne.
| Nom du site : Hameau du Grand Bec |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Abri (indéterminé) |
Abri indéterminé, repéré en photographie aérienne.
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : VILLERVILLE | Lieu-dit : Les Aubets |
Le Wn Trou013 est l’une des quatre batteries hippomobiles appartenant au groupe d’artillerie divisionnaire I./AR 1711 dont le PC constitue le Wn Trou027. Le 6 juin, elle est numérotée 1./AR 1711 après avoir été la 3./651. Comme les autres batteries légères, celle des Aubets se situe à l’abri des bombardements de marine, à l’arrière de la Butte de Fréville, dans la plaine entre Trouville, Touques et Villerville. Ses pièces n’étaient pas non plus conçues pour tirer vers le large. Elles avaient pour but de soutenir les nids de résistance du secteur contre des troupes déjà débarquées. Pour sa mission, la batterie est constituée d’aménagements relativement légers construits dans un champ de culture. Il est peu probable que les positions de tir aient servi au combat. Quand les Alliés arrivèrent à portée de la batterie à la fin août 1944, le front s’écroulait et les Allemands évacuaient le maximum de matériel sur l’autre rive de la Seine. Dans le secteur, seules quelques Wn présents dans le bourg de Trouville étaient encore occupés pour repousser le franchissement de la Touques par les Alliés. Dès la Libération, la batterie disparaît. Le propriétaire nivelle rapidement le terrain pour remettre le champ en culture. Aujourd’hui, il ne reste plus rien de la batterie. Les photos aériennes de la RAF de 1944 permettent tout de même d’en avoir un aperçu. Il est possible de voir les quatre encuvements des pièces de campagne allemandes de type 7,62 cm FK 39 et un réseau de tranchées. Il semble que d’autres positions de tir existent sur le site. Il pourrait s’agir d’éléments de défense rapprochée. Une clôture de barbelés est aussi parfaitement visible autour du site.
CHAZETTE Alain, Le mur de l’Atlantique en Normandie, Bayeux, Editions Heimdal, 2000, page(s) : 24
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement en terre pour canon de campagne allemand de type 7,62 FK 39. Le site possédait quatre encuvements de ce genre pour ces quatre canons principaux. Les pièces n’étaient pas non plus conçues pour tirer vers le large. Elles avaient pour but de soutenir les nids de résistance du secteur contre des troupes déjà débarquées. Par conséquent, il est peu probable que les positions de tir aient servi au combat. Quand les Alliés arrivèrent à portée de la batterie à la fin août 1944, le front s’écroulait et les Allemands évacuaient le maximum de matériel sur l’autre rive de la Seine. Dans le secteur, seuls quelques Wn présents dans le bourg de Trouville étaient encore occupés pour repousser le franchissement de la Touques par les Alliés. Cet ouvrage est l’encuvement le plus à l’ouest. Il est visible sur les photos de la RAF de 1944. Comme les autres, il a été détruit dès la fin de la guerre quand le champ fut remis en culture.
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement en terre pour canon de campagne allemand de type 7,62 FK 39. Le site possédait quatre encuvements de ce genre pour ces quatre canons principaux. Les pièces n’étaient pas non plus conçues pour tirer vers le large. Elles avaient pour but de soutenir les nids de résistance du secteur contre des troupes déjà débarquées. Par conséquent, il est peu probable que les positions de tir aient servi au combat. Quand les Alliés arrivèrent à portée de la batterie à la fin août 1944, le front s’écroulait et les Allemands évacuaient le maximum de matériel sur l’autre rive de la Seine. Dans le secteur, seuls quelques Wn présents dans le bourg de Trouville étaient encore occupés pour repousser le franchissement de la Touques par les Alliés. Cet ouvrage est le deuxième encuvement le plus à l’ouest. Il est visible sur les photos de la RAF de 1944. Comme les autres, il a été détruit dès la fin de la guerre quand le champ fut remis en culture.
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement en terre pour canon de campagne allemand de type 7,62 FK 39. Le site possédait quatre encuvements de ce genre pour ces quatre canons principaux. Les pièces n’étaient pas non plus conçues pour tirer vers le large. Elles avaient pour but de soutenir les nids de résistance du secteur contre des troupes déjà débarquées. Par conséquent, il est peu probable que les positions de tir aient servi au combat. Quand les Alliés arrivèrent à portée de la batterie à la fin août 1944, le front s’écroulait et les Allemands évacuaient le maximum de matériel sur l’autre rive de la Seine. Dans le secteur, seuls quelques Wn présents dans le bourg de Trouville étaient encore occupés pour repousser le franchissement de la Touques par les Alliés. Cet ouvrage est le troisième encuvement le plus à l’ouest. Il est visible sur les photos de la RAF de 1944. Comme les autres, il a été détruit dès la fin de la guerre quand le champ fut remis en culture.
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement en terre pour canon de campagne allemand de type 7,62 FK 39. Le site possédait quatre encuvements de ce genre pour ces quatre canons principaux. Les pièces n’étaient pas non plus conçues pour tirer vers le large. Elles avaient pour but de soutenir les nids de résistance du secteur contre des troupes déjà débarquées. Par conséquent, il est peu probable que les positions de tir aient servi au combat. Quand les Alliés arrivèrent à portée de la batterie à la fin août 1944, le front s’écroulait et les Allemands évacuaient le maximum de matériel sur l’autre rive de la Seine. Dans le secteur, seuls quelques Wn présents dans le bourg de Trouville étaient encore occupés pour repousser le franchissement de la Touques par les Alliés. Cet ouvrage est l'encuvement le plus à l’est. Il est visible sur les photos de la RAF de 1944. Comme les autres, il a été détruit dès la fin de la guerre quand le champ fut remis en culture.
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Tranchée ouverte |
Réseaux de tranchées traversant le site et reliant certains ouvrages entre eux. L’ouvrage permettait aux troupes de se déplacer au sein du site en restant en partie à l’abri et de patrouiller. Une grande partie des tronçons est visible sur les photos de la RAF de 1944. Mais le réseau est complètement comblé dès la fin de la guerre.
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Route |
Piste de 450 m de long traversant tout le site selon un axe est-ouest. Aménagée par les Allemands, elle devait servir pour l’apport du matériel et des munitions. L’ouvrage est visible sur les photos de la RAF de 1944. Mais il est complètement comblé dès la fin de la guerre.
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Obstacle en élévation |
Clôture de barbelés enserrant la batterie pour en limiter l’accès. L’ouvrage a entièrement été démantelé dès la Libération pour permettre la remise en culture du champ. Cependant, il reste nettement visible sur les photos aériennes alliées datant de 1944.
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage de type indéterminé visible sur les photos de la RAF, situé le long de la piste E006. Il ressemble à un petit encuvement. Il servait potentiellement pour la défense rapprochée du site.
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage de type indéterminé visible sur les photos de la RAF, situé au sud est du site. Il ressemble à un petit encuvement. Il servait potentiellement pour la défense rapprochée du site.
| Nom du site : Les Aubets |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage de type indéterminé visible sur les photos de la RAF, située à l’extrémité est de la piste E006 et à la lisière d’un verger. Il ressemble à un petit encuvement. Il servait potentiellement pour la défense rapprochée du site. Cependant, vu sa position plus couverte que le reste des ouvrages, cela pourrait être un abri pour les officiers de la batterie.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : VILLERVILLE | Lieu-dit : La Bruyère |
Le Stp Trou012 est une importante batterie côtière construite sur les hauteurs de Villerville dans le but de défendre la baie de Seine. La HKB 1./510 arrive en mai 1942 et installe sur le site six canons français Schneider de type 15,5 cm K420. Les premiers aménagements sont légers. Les encuvements sont en terre et le reste se compose de simples baraquements. En août, les positions de tir ont été bétonnées et sont agrémentées de petites soutes. Des abris pour le personnel de type 501 et 502 sont coulés en même temps, celui à l’est servant de PC. L’année suivante, l’armement du site se renforce. Un obusier français Schneider de type 15,5 cm sFH vient assurer le rôle de pièce d’éclairage. Puis en août, deux canons de 2 cm KwK 38 sont intégrés à la défense rapprochée. D’autres ouvrages bétonnés sont aussi ajoutés. Trois abris soutes de type 607 sont coulés avec deux tobrouks pour mitrailleuses et une position de tir avec soute pour un canon de 2 cm supplémentaire. Novembre voit le remplacement de l’obusier par un autre canon français de type 10,5 cm court. Le mois suivant, la batterie est renumérotée en HKB 1./1255. L’année se termine par la construction d’une batterie factice et d’un poste d’observation au sommet d’une villa à 200 m des positions de tir. Les réaménagements se poursuivent en 1944. En février les canons 2 cm Kwk sont remplacés par 3 pièces 2 cm Flak 30 pour renforcer la défense aérienne du site. Puis la construction de quatre casemates 679 est entamée en mars pour mettre à l’abri les pièces de 15,5 cm. Cependant, seul l’un de ses chantiers arrive à son terme. Le mois suivant voit l'arrivée de deux projecteurs de 60 et 150 cm et le départ de l’une des Flak. Enfin, en mai, la pièce d’éclairage est de nouveau changée. Ce rôle est alors dévolu à un obusier Skoda de 10 cm. Au cours des deux mois précédant le Débarquement, la batterie est bombardée trois fois : le 12 mai, le 25 mai et le 5 juin. Malgré la présence d’une position leurre, les Alliés touchent au but et ravage le site. Une photo aérienne de la deuxième attaque se trouve aisément sur Internet. Elle montre le site disparaissant sous un nuage de poussière. Cependant, cela n’empêche pas les canons de harceler le flanc gauche de la flotte du Jour J. Le cuirassé britannique HMS Warspite aurait été amené à changer plusieurs fois de mouillage en conséquence. À la fin juillet, les hommes et les canons sont finalement évacués en même temps que la majorité du secteur. Après la guerre, le site est rapidement remis en culture. La plupart des ouvrages disparaissent rapidement, les dégâts des bombardements sur le béton devant aider. Actuellement, les vestiges de la batterie sont à cheval entre un verger et un camping construit dans les années 1980. Seuls quelques vestiges sont encore visibles sur place. Le toit de deux abris dépasse du sol dans le champ. La soute surmontée de la position de tir et l’unique casemate dont la construction a été terminée se cache dans des bosquets dans le camping. Le site internet du NCAP héberge des photos aériennes datant de 1944 et montrant le site avant sa disparition. Mais le foisonnement des ouvrages et la mauvaise qualité des photos empêchent une identification précise dans la majorité des éléments. Régulièrement des affaissements ont lieu sur le camping laissant apparaître des entrées d'ouvrages. Quand cela arrive, les gérants comblent les trous le plus rapidement possible par sécurité.
CHAZETTE Alain, Mur de l'Atlantique. Les batteries de côte en Normandie du Havre à Cherbourg, Vertou, Editions Histoire et fortifications, 2011, page(s) : 103-140
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Schartenstand |
| Typologie : Regelbau 679 |
| Descripteur : Casemate d’artillerie |
Casemate pour canon sur affût de type 679 sans locaux annexes, située le long de la route traversant le site. En mars 1944, les Allemands lancent la construction de quatre casemates pour remplacer une partie des encuvements. Celle-ci est l’unique position abritée terminée. Le 6 juin, la casemate est équipée de l’un des six canons Schneider de type 15,5 cm K.420 du site servant à harceler le flanc gauche de la flotte alliée. Actuellement, un mur de la casemate est visible sous un talus et sous la végétation. Selon certains témoignages, son intérieur est grandement détérioré. Les démineurs se seraient servis d'elle pour stocker les munitions ramassées et les faire exploser à la Libération.


| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Schartenstand |
| Typologie : Regelbau 679 |
| Descripteur : Casemate d’artillerie |
Fondations de l’une des casemates pour canon sur affût de type 679 sans locaux annexes, située au nord du site sur la parcelle d’un centre équestre. En mars 1944, les Allemands lancent la construction de quatre casemates pour remplacer une partie des encuvements. Celle-ci était encore au stade du coffrage le 6 juin. Elle est donc ferraillée à la Libération et disparaît rapidement. Cependant, ses fondations sont visibles sur les photos aériennes de la RAF de mai 1944.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage visible sur les photos aériennes de la RAF de mai 1944. La qualité de la prise ne permet pas de certitude sur la nature de l’élément. L’emplacement pourrait correspondre aux fondations de l’une des trois casemates restées au stade de coffrage et qui auraient été ferraillées dès la Libération. Mais il pourrait être aussi l’emplacement d’un abri pour deux groupes de combat type 502. Dans ce cas, l’ouvrage aurait été construit dès 1942. Il se composerait d’un sas et de deux chambres de troupe. Enfin, il aurait été détruit ou enfoui dans la fin de la guerre.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage visible sur les photos aériennes de la RAF de mai 1944. La qualité de la prise ne permet pas de certitude sur la nature de l’élément. L’emplacement pourrait correspondre aux fondations de l’une des trois casemates restées au stade de coffrage et qui auraient été ferraillées dès la Libération. Mais il pourrait être aussi l’emplacement d’une soute type 502 servant aux munitions d’artillerie type 502. Dans ce cas, l’ouvrage aurait été construit dès 1943. Il se composerait d’une réserve pour les obus et d’une autre pour les gargousses. Enfin, il aurait été détruit ou enfoui dans la fin de la guerre.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement d’artillerie accompagné de soutes et prévu pour un canon de calibre 15,5. À l’arrivée de la batterie sur le site en mai 1942, les encuvements sont les premiers aménagements construits pour placer les canons Schneider. Mais à ce stade, les positions sont en terre. En août, elles sont bétonnées et agrémentées de soutes. Les positions de tir s’alignent alors en arc de cercle orienté vers l’ouest. Mars 1943 voit l’arrivée d’une directive demandant aux batteries de construire des casemates pour abriter une partie des canons. Quatre chantiers sont lancés, mais un seul arrive à son terme. Le 6 juin donc, à part un, les canons sont encore utilisés dans les encuvements. Ce jour-là, les pièces arrivent à harceler le flanc gauche de la flotte de Débarquement. Les hommes évacuent finalement le site à la fin juillet en emportant avec eux les canons. La paix revenue, le site est rapidement remis en culture. Les encuvements sont détruits ou enfouis. Cependant, les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944 permettent de situer cet ouvrage qui est la position de tir la plus au nord.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement d’artillerie accompagné de soutes et prévu pour un canon de calibre 15,5. À l’arrivée de la batterie sur le site en mai 1942, les encuvements sont les premiers aménagements construits pour placer les canons Schneider. Mais à ce stade, les positions sont en terre. En août, elles sont bétonnées et agrémentées de soutes. Les positions de tir s’alignent alors en arc de cercle orienté vers l’ouest. Mars 1943 voit l’arrivée d’une directive demandant aux batteries de construire des casemates pour abriter une partie des canons. Quatre chantiers sont lancés, mais un seul arrive à son terme. Le 6 juin donc, à part un, les canons sont encore utilisés dans les encuvements. Ce jour-là, les pièces arrivent à harceler le flanc gauche de la flotte de Débarquement. Les hommes évacuent finalement le site à la fin juillet en emportant avec eux les canons. La paix revenue, le site est rapidement remis en culture. Les encuvements sont détruits ou enfouis. Cependant, les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944 permettent de situer cet ouvrage qui est la deuxième position de tir la plus au nord.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement d’artillerie accompagné de soutes et prévu pour un canon de calibre 15,5. À l’arrivée de la batterie sur le site en mai 1942, les encuvements sont les premiers aménagements construits pour placer les canons Schneider. Mais à ce stade-là, les positions sont en terre. En août, elles sont bétonnées et agrémentées de soutes. Les positions de tir s’alignent alors en arc de cercle orienté vers l’ouest. Mars 1943 voit l’arrivée d’une directive demandant aux batteries de construire des casemates pour abriter une partie des canons. Quatre chantiers sont lancés, mais un seul arrive à son terme. Le 6 juin donc, à part un, les canons sont encore utilisés dans les encuvements. Ce jour-là, les pièces arrivent à harceler le flanc gauche de la flotte de Débarquement. Les hommes évacuent finalement le site à la fin juillet en emportant avec eux les canons. La paix revenue, le site est rapidement remis en culture. Les encuvements sont détruits ou enfouis. Cependant, les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944 permettent de situer cet ouvrage qui est la troisième position de tir la plus au nord.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement d’artillerie accompagné de soutes et prévu pour un canon de calibre 15,5. À l’arrivée de la batterie sur le site en mai 1942, les encuvements sont les premiers aménagements construits pour placer les canons Schneider. Mais à ce stade, les positions sont en terre. En août, elles sont bétonnées et agrémentées de soutes. Les positions de tir s’alignent alors en arc de cercle orienté vers l’ouest. Mars 1943 voit l’arrivée d’une directive demandant aux batteries de construire des casemates pour abriter une partie des canons. Quatre chantiers sont lancés, mais un seul arrive à son terme. Le 6 juin donc, à part un, les canons sont encore utilisés dans les encuvements. Ce jour-là, les pièces arrivent à harceler le flanc gauche de la flotte de Débarquement. Les hommes évacuent finalement le site à la fin juillet en emportant avec eux les canons. La paix revenue, le site est rapidement remis en culture. Les encuvements sont détruits ou enfouis. Cependant, les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944 permettent de situer cet ouvrage qui est la quatrième position de tir la plus au nord et qui est la seule à avoir été remplacée par une casemate.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement d’artillerie accompagné de soutes et prévu pour un canon de calibre 15,5. À l’arrivée de la batterie sur le site en mai 1942, les encuvements sont les premiers aménagements construits pour placer les canons Schneider. Mais à ce stade, les positions sont en terre. En août, elles sont bétonnées et agrémentées de soutes. Les positions de tir s’alignent alors en arc de cercle orienté vers l’ouest. Mars 1943 voit l’arrivée d’une directive demandant aux batteries de construire des casemates pour abriter une partie des canons. Quatre chantiers sont lancés, mais un seul arrive à son terme. Le 6 juin donc, à part un, les canons sont encore utilisés dans les encuvements. Ce jour-là, les pièces arrivent à harceler le flanc gauche de la flotte de Débarquement. Les hommes évacuent finalement le site à la fin juillet en emportant avec eux les canons. La paix revenue, le site est rapidement remis en culture. Les encuvements sont détruits ou enfouis. Cependant, les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944 permettent de situer cet ouvrage qui est la deuxième position de tir la plus au sud.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Encuvement d’artillerie accompagné de soutes et prévu pour un canon de calibre 15,5. À l’arrivée de la batterie sur le site en mai 1942, les encuvements sont les premiers aménagements construits pour placer les canons Schneider. Mais à ce stade, les positions sont en terre. En août, elles sont bétonnées et agrémentées de soutes. Les positions de tir s’alignent alors en arc de cercle orienté vers l’ouest. Mars 1943 voit l’arrivée d’une directive demandant aux batteries de construire des casemates pour abriter une partie des canons. Quatre chantiers sont lancés, mais un seul arrive à son terme. Le 6 juin donc, à part un, les canons sont encore utilisés dans les encuvements. Ce jour-là, les pièces arrivent à harceler le flanc gauche de la flotte de Débarquement. Les hommes évacuent finalement le site à la fin juillet en emportant avec eux les canons. La paix revenue, le site est rapidement remis en culture. Les encuvements sont détruits ou enfouis. Cependant, les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944 permettent de situer cet ouvrage est la deuxième position de tir la plus au nord.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Geschützstellung für 5 cm KwK |
| Typologie : Regelbau 600 |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Petit encuvement monté sur un abri et situé à l’ouest du site. Selon le standard, l’ouvrage est prévu pour un canon 5 cm KwK. Mais, à sa construction en 1943, il est équipé d'un calibre 2 cm. L’arme change en février 1944 au moment où les trois pièces de 2 cm du site sont remplacés par des canons de même calibre, mais prévu pour la défense anti-aérienne. L’ouvrage se compose d’un abri classique avec un sas, une chambre de troupe et une soute à munitions. La position de tir ressemble quant à elle à un ringstand pour canon 5 cm qui aurait été simplement posé sur le toit de l’abri et rendu accessible par un escalier. Contrairement à la majorité du site, l'ouvrage est encore visible sous une butte. Les rebords de son toit sont en partie découverts, tandis que la forme du ringstand est perceptible au sommet de la butte.


| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Il est situé à l’ouest du site au côté d’un élément semblable. Cette disposition laisse croire que c’est l’un des deux emplacements légers créés pour les canons 2 cm KwK arrivés en août 1943. Si c’est le cas, il change d’utilité en février 1944 quand les armes sont remplacées par des canons 2 cm Flak pour la défense anti-aérienne. Les sources montrent que l’une des deux positions est désarmée 2 mois après, sans préciser laquelle. Il peut s’agir de celle-ci. L’ouvrage disparaît à la Libération avec la remise en culture du champ. Aujourd’hui, il ne reste plus rien.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Il est situé à l’ouest du site au côté d’un élément semblable. Cette disposition laisse croire que c’est l’un des deux emplacements légers créés pour les canons 2 cm KwK arrivés en août 1943. Si c’est le cas, il change d’utilité en février 1944 quand les armes sont remplacées par des canons 2 cm Flak pour la défense anti-aérienne. Les sources montrent que l’une des deux positions est désarmée 2 mois après, sans préciser laquelle. Il peut s’agir de celle-ci. L’ouvrage disparaît à la Libération avec la remise en culture du champ. Aujourd’hui, il ne reste plus rien.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Gruppenunterstand |
| Typologie : Regelbau 501 |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour un groupe de type 501, situé à l’est du site à proximité de l’encuvement de type 600 (E011). L’ouvrage est construit en août 1943 et devait servir à loger les troupes du site. L’intérieur se compose d’un sas et d’une chambre de troupe. Actuellement, l’ouvrage n’est pas visible, détruit ou enfoui. Mais sa silhouette est discernable sur les photos de la RAF de mai 1944.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Gruppenunterstand |
| Typologie : Regelbau 501 |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri qui a été révélé suite à un affaissement de terrain dans le camping. Rapidement comblé par sécurité, il n'est de nouveau plus visible. Cependant son emplacement semble indiquer un abri pour un groupe de type 501, situé au nord du site à proximité de l'encuvement (E005). L’ouvrage est construit en août 1943 et devait servir à loger les troupes du site, notamment les servants du canon de l'encuvement. L’intérieur se compose d’un sas et d’une chambre de troupe.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Gruppenunterstand |
| Typologie : Regelbau 501 |
| Descripteur : Poste de commandement |
Abri surmonté d'un tobrouk dont le modèle est conçu comme logement pour un groupe, mais qui ici sert de PC de batterie. L’ouvrage est construit en août 1943. L’intérieur se compose d’un sas et d’une chambre de troupe. En juin de la même année, un tobrouk (E016) est ajouté sur le toit pour sa défense rapprochée. La totalité de l’ouvrage est visible sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Le livre d’Alain Chazette sur les batteries normandes montre une autre photo prise au sol. Nous pouvons y voir l’entrée de la fosse et trois soldats sur le toit, dont un assis sur le ringstand du tobrouk. Actuellement l'abri est totalement enfoui. Seule une petite partie du tobrouk est visible à la limite d'une butte.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Obstacle en élévation |
Réseau de barbelé entourant le site pour en limiter le nombre d’accès. Selon les sources, la clôture était accompagnée à certains endroits de champs de mines. Une tranchée peut aussi s’y mêler permettant aux troupes de patrouiller autour de la batterie. Le réseau a complètement disparu. Cependant, sa majeure partie est visible sur les photos aériennes alliées de 1944. Sur ces documents, l’est ne semble pas couvert. Mais il est fortement possible que la clôture passait tout de même dans le bois du Val pour boucler l’enceinte.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Doppelgruppenunterstand |
| Typologie : Regelbau 502 |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour deux groupes de combat de type 502 situé devant les encuvements. Construit en août 1942, l’ouvrage devait être le logement des servants des canons du site. Aujourd’hui disparu, enfoui ou détruit, il est visible sur les photos aériennes de 1961.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Doppelgruppenunterstand |
| Typologie : Regelbau 502 |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri pour deux groupes de combat de type 502 situé devant les encuvements. Construit en août 1942, l’ouvrage devait être le logement des servants des canons du site. Aujourd’hui disparu, enfoui ou détruit, il est visible sur les photos aériennes de la RAF datant de 1944.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Munitionsunterstand II |
| Typologie : Regelbau 607 |
| Descripteur : Abri de stockage (munitions) |
Abri pour munitions de type 607, situé au sud du site. En juin 1943, trois ouvrages de ce modèle sont construits. Ils servaient tous à entreposer les munitions de l’artillerie lourde du site. Ils se composent alors chacun d’une soute pour les obus et d’une soute pour les gargousses, reliées entre elles par deux couloirs. Encore aujourd’hui, une partie du toit de l’ouvrage dépasse du sol dans le verger. Les photos aériennes de 1984 montrent sa silhouette et permettent d’identifier son modèle.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Munitionsunterstand II |
| Typologie : Regelbau 607 |
| Descripteur : Abri de stockage (munitions) |
Abri pour munitions de type 607, situé au sud du site. En juin 1943, trois ouvrages de ce modèle sont construits. Ils servaient tous à entreposer les munitions de l’artillerie lourde du site. Ils se composent alors chacun d’une soute pour les obus et d’une soute pour les gargousses, reliées entre elles par deux couloirs. Encore aujourd’hui, une partie du toit de l’ouvrage dépasse du sol dans le verger. Les photos aériennes de 1984 montrent sa silhouette et permettent d’identifier son modèle.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Munitionsunterstand II |
| Typologie : Regelbau 607 |
| Descripteur : Abri de stockage (munitions) |
Abri pour munitions de type 607, situé au sud du site. En juin 1943, trois ouvrages de ce modèle sont construits. Ils servaient tous à entreposer les munitions de l’artillerie lourde du site. Ils se composent alors chacun d’une soute pour les obus et d’une soute pour les gargousses, reliées entre elles par deux couloirs. Encore aujourd’hui, une partie du toit de l’ouvrage dépasse du sol dans le verger. Les photos aériennes de 1984 montrent sa silhouette et permettent d’identifier son modèle.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Il est situé à l’ouest du site à l’intérieur d’une boucle formée par une section de tranchée. La position de l’élément peut laisser penser à un élément de défense rapproché qui aurait été détruit dès la Libération. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Il est situé à l’ouest du site le long de la route est-ouest. La forme de l’élément peut laisser penser que c’est l’un des baraquements construits pour loger les troupes à l’arrivée de la batterie en mai 1942. Ils auraient alors été abandonnés ou transférés à un autre usage au fur et à mesure de la construction des abris bétonnés. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Il est situé à l’ouest du site le long de la route est-ouest. La forme de l’élément peut laisser supposer que c’est l’un des baraquements construits pour loger les troupes à l’arrivée de la batterie en mai 1942. Ils auraient alors été abandonnés ou transférés à un autre usage au fur et à mesure de la construction des abris bétonnés. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Il est situé à l’ouest du site le long de la route est-ouest. La forme de l’élément peut laisser supposer que c’est l’un des baraquements construits pour loger les troupes à l’arrivée de la batterie en mai 1942. Ils auraient alors été abandonnés ou transférés à un autre usage au fur et à mesure de la construction des abris bétonnés. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Il est situé à l’entrée ouest du site le long de la route est-ouest. La position de l’ouvrage peut laisser supposer que c’est un élément de défense rapprochée ou un poste de garde. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Zone terrassée visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Elle est située à l’entrée ouest du site le long de la route est-ouest. La zone peut correspondre au toit d’un abri, au début d’un chantier ou simplement à un endroit aplani pour le stockage. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Il est situé à l'ouest du site au sud de la route est-ouest. La forme de l’élément peut laisser supposer que c’est l’un des baraquements construits pour loger les troupes à l’arrivée de la batterie en mai 1942. Ils auraient alors été abandonnés ou transférés à un autre usage au fur et à mesure de la construction des abris bétonnés. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Il est situé à l'ouest du site au sud de la route est-ouest. La forme de l’élément peut laisser penser que c’est l’un des baraquements construits pour loger les troupes à l’arrivée de la batterie en mai 1942. Ils auraient alors été abandonnés ou transférés à un autre usage au fur et à mesure de la construction des abris bétonnés. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Il est situé au centre site et au sud de la route est-ouest. Sa forme allongée peut laisser penser à un simple un mur ou à un talus. Mais sa position n’oriente par la réflexion vers un mur pare-éclat ou un obstacle. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Zone terrassée visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Elle est située au centre du site, au croisement des différents axes qui le traverse. La zone peut correspondre au toit d’un abri, au début d’un chantier ou simplement à un endroit aplani pour le stockage. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Zone terrassée visible uniquement sur les photos aériennes de la RAF datant de mai 1944. Elle est située au centre du site, au croisement des différents axes qui le traverse. La zone peut correspondre au toit d’un abri, au début d’un chantier ou simplement à un endroit aplani pour le stockage. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes des alliés datant de mai 1944, grâce à l’ombre qu’il produit. Il est situé à limite sud-ouest du site. Les Alliés l’identifient en tant que position de tir sur une photo issue des archives de la NARA. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes des alliés datant de mai 1944, grâce à l’ombre qu’il produit. Il est situé à limite sud-ouest du site. Les Alliés l’identifient en tant que position de tir sur une photo issue des archives de la NARA. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes des alliés datant de mai 1944, grâce à l’ombre qu’il produit et à la différence de valeur. Il est situé au sud-ouest du site. Sa forme semble indiquer un abri. Il pourrait s’agir du logement des servants de l’arme de la position de tir potentielle E035. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage indéterminé visible uniquement sur les photos aériennes des alliés datant de mai 1944. Il est situé à la limite sud du site. Sa position pourrait indiquer un ouvrage de défense rapprochée chargé de couvrir le grand champ au sud du site. Mais la mauvaise qualité des photos ne permet pas de s’en assurer.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Tranchée ouverte |
Tranchée ouverte comblée
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Un des six encuvements d’artillerie factices situé au sud du site et visible sur les photos aériennes prises par les alliés en 1944. L’ensemble est construit en 1943 pour tromper les alliés. Mais les photos de mai 1944 montrant les dégâts occasionnés par les bombardements prouvent que c’est un échec. La grande majorité des cratères sont concentrés autour de la vraie batterie. À l’inverse, le leurre est intact. Cependant, la batterie factice disparaît rapidement après-guerre alors que le champ est remis en culture.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Un des six encuvements d’artillerie factices situé au sud du site et visible sur les photos aériennes prises par les alliés en 1944. L’ensemble est construit en 1943 pour tromper les alliés. Mais les photos de mai 1944 montrant les dégâts occasionnés par les bombardements prouvent que c’est un échec. La grande majorité des cratères sont concentrés autour de la vraie batterie. À l’inverse, le leurre est intact. Cependant, la batterie factice disparaît rapidement après-guerre alors que le champ est remis en culture.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Un des six encuvements d’artillerie factices situé au sud du site et visible sur les photos aériennes prises par les alliés en 1944. L’ensemble est construit en 1943 pour tromper les alliés. Mais les photos de mai 1944 montrant les dégâts occasionnés par les bombardements prouvent que c’est un échec. La grande majorité des cratères sont concentrés autour de la vraie batterie. À l’inverse, le leurre est intact. Cependant, la batterie factice disparaît rapidement après-guerre alors que le champ est remis en culture.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Un des six encuvements d’artillerie factices situé au sud du site et visible sur les photos aériennes prises par les alliés en 1944. L’ensemble est construit en 1943 pour tromper les alliés. Mais les photos de mai 1944 montrant les dégâts occasionnés par les bombardements prouvent que c’est un échec. La grande majorité des cratères sont concentrés autour de la vraie batterie. À l’inverse, le leurre est intact. Cependant, la batterie factice disparaît rapidement après-guerre alors que le champ est remis en culture.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Un des six encuvements d’artillerie factices situé au sud du site et visible sur les photos aériennes prises par les alliés en 1944. L’ensemble est construit en 1943 pour tromper les alliés. Mais les photos de mai 1944 montrant les dégâts occasionnés par les bombardements prouvent que c’est un échec. La grande majorité des cratères sont concentrés autour de la vraie batterie. À l’inverse, le leurre est intact. Cependant, la batterie factice disparaît rapidement après-guerre alors que le champ est remis en culture.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Un des six encuvements d’artillerie factice situé au sud du site et visible sur les photos aériennes prises par les alliés en 1944. L’ensemble est construit en 1943 pour tromper les alliés. Mais les photos de mai 1944 montrant les dégâts occasionnés par les bombardements prouvent que c’est un échec. La grande majorité des cratères sont concentrés autour de la vraie batterie. À l’inverse, le leurre est intact. Cependant, la batterie factice disparaît rapidement après-guerre alors que le champ est remis en culture.
| Nom du site : La batterie des Hautes-Bruyères |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Typologie : SK |
| Descripteur : Poste d’observation |
Poste d’observation et de direction de tir de la batterie, situé à 370 m des encuvements. Construit en 1943, l’ouvrage existe encore. Les photos aériennes alliés de mai 1944 montrent des traces linéaires le reliant à la batterie côtière et aussi à la batterie hippomobile Wn Trou13 situé à 1 030 m. Actuellement situé dans un terrain à la limite d’un camping, l’état du poste d’observation semble mauvais. Il a notamment perdu les éléments de camouflage et est régulièrement taggé. Il se compose d'un long bloc avec une petite tour de deux étages à l'arrière. Côté route, il existe encore un volet métallique pour protéger l'unique fenêtre de RDC.





| Nom du site : Pointe du Heurt |
| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : VILLERVILLE | Lieu-dit : Pointe du Heurt |
Le Wn Trou11 est une position de défense rapprochée construite par les Allemands au sommet de la falaise de la Pointe du Heurt. Sa situation avancée permettait aux hommes de couvrir la plage vers le bourg de Villerville à l’Est et la plage vers les Roches noires à l’Ouest. Le tronçon de côte allant de Trouville à Criquebeoeuf est escarpé et en majorité constitué de falaises de glaise. Pour le fortifier, les Allemands construisirent les nids de résistance sur les pointes faiblement prononcées du secteur dans le but de pouvoir prendre les plages sous des tirs croisées. Après la guerre, la nature du sol mène à un glissement de terrain lent mais constant. De nombreuses ouvrages tombent alors de l’estran en subissant d’importants dégâts. Pour la même raison, cette côte qui a été autrefois couvertes de nombreuses villas, a été en partie abandonnée. D’autres ouvrages ont donc disparu sous la végétation ou ont été rendus inaccessibles. Le Wn Trou11 est victime de ces deux problèmes. Une partie de ses ouvrages sont tombés sur la grève en se morcelant. Ceux-ci ont pu être inventoriés et en partie identifiés. Il est donc possible de voir un tobrouk, un ringstand et deux ensembles de bétons. D’autres ouvrages doivent encore rester au sommet de la falaise. Mais la végétation et le manque de photos aériennes de qualités empêchent de les découvrir. Seul un élément est visible sur les images satellites, sans qu’il soit possible de s’en rapprocher sur le terrain.

CHAZETTE Alain, Atlantikwall. Mythe ou Réalité, Vertou, Editions Histoire et Fortifications, 2008
| Nom du site : Pointe du Heurt |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Rundumstand |
| Typologie : VF 3a |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Position pour mitrailleuse à 360° située sur le flanc gauche du site. En surplomb de la plage, l’arme pouvait couvrir l’estran en direction de Trouville. Il se compose d’une unique pièce carrée entourée d’embrasure. Depuis la fin de la guerre, l’ouvrage est tombé de la falaise, victime de l’érosion du littoral. Fragmenté et dispersé, il est difficile à reconnaître.


| Nom du site : Pointe du Heurt |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Tobrouk |
| Typologie : Vf 58c |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Tobrouk situé en surplomb de la plage. Sa mitrailleuse pouvait couvrir l’estran en direction de Trouville et de Villerville. Depuis la fin de la guerre, l’ouvrage est tombé de la falaise et s’est fragmenté, victime de l’érosion du littoral. Le bloc principal est planté dans le sable. Celui où se trouve le ringstand est à quelques mètres, en grande partie enfoui dans le sable. D’autres blocs jonchent le sol autours, dont un avec une épaisse armature métallique.






| Nom du site : Pointe du Heurt |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Position de tir bétonnée prévue pour un canon 5 cm KwK. Son arme pouvait couvrir l’estran en direction de Villerville sur près d’un kilomètre. Depuis la fin de la guerre, l’ouvrage est tombé de la falaise et s’est fragmenté, victime de l’érosion du littoral. Malgré cela, les fragments sont globalement restés unis. Seul, l'un s’est éloigné du gros de l’ouvrage.







| Nom du site : Pointe du Heurt |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage situé sur le flanc droit du site. Sa chute de la falaise l’a complètement fragmenté. Aujourd’hui, ce n’est plus qu’un tas de gravats. Invisible sur les photos aériennes, il n’est pas actuellement possible d’en déterminer le type et l’utilité. Il s’est fragmenté, victime de l’érosion du littoral. Malgré cela, les fragments sont globalement restés unis. Seul, l'un s’est éloigné du gros de l’ouvrage.



| Nom du site : Pointe du Heurt |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Autre |
Ouvrage dont la bordure du toit est visible dans la végétation sur les photos satellites. Inaccessible sur le terrain et introuvable sur les photos aériennes plus anciennes, son type et son utilité sont inconnus. Au vu de sa position vis-à-vis de reste du site, il est possible que ce soit un abri pour le personnel.
| Nom du site : Eglise de Villerville |
| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : VILLERVILLE |
Le carrefour de l’église de Villerville est indiqué en tant que site sur les cartes allemandes sans numérotation précise. Des photos anciennes montrent qu’il était centré sur une position de canon camouflé en extension de l’Église. L’abri qui servait aux munitions et aux servants subsistent encore dans une parcelle privée. La localisation du site montre son utilité. À l’arrière du bourg de Villerville, il en contrôle les accès terrestres. En même temps, il barre la route qui relie Trouville à Honfleur par la côte. Ainsi, le canon est en mesure de ralentir la progression de troupes déjà débarquées et cherchant à longer la côte. Enfin, le site se situe à l’entrée de la rue Thomas Jean Montstant qui donne accès à l’hinterland de Villerville et aux multiples batteries qui s’y trouvent.

PINCZON DU SEL, Rapport de la marine nationale, 1947, SHD, Cherbourg
| Nom du site : La Bouloir |
| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : VILLERVILLE |
L’ouest du bourg de Villerville est indiqué en tant que PC de bataillon sur les cartes allemandes. Cependant, sa position indique qu’il est avant tout un nid de résistance ayant pour but de protéger le côté ouest de la plage de Villerville. De plus, il n’a pas de numérotation spécifique. Comme tous les bourgs côtiers du secteur, Villerville est une cité balnéaire essentiellement composé de grande villa datant de la fin du XIXe siècle et du début XXe siècle. Durant la guerre, il y a de grandes chances que les Allemands en aient occupé un certains nombre. Mais, rapidement après la Libération, les traces de leur passage ont dû être détruites ou cachées pour rendre à la ville et aux villas leur esthétique et leur confort. De plus, le manque de photos anciennes de qualité et la difficulté de contacter les propriétaires empêchent de vérifier l’existence d’un certain nombre d’éléments. Comme souvent, la plage était aussi couverte d’obstacles tels que des barrières Cointet, mais qui ont été ferraillées très rapidement. Les abords du bourg peuvent aussi avoir comporté d'autres éléments qui auraient été effacés par l'érosion des falaises argileuses. L’inventaire de la Marine indique cinq éléments. Mais la plupart n’ont pas être identifiés. Seule une casemate pour canon tchèque a pu être précisément localisée. Les témoignages confirment qu’une galerie part de cet ouvrage vers le sud. Elle donnerait sur différentes pièces et arriverait à une autre position de tir. Cependant, dans l’impossibilité de préciser sa localisation, elle n’a pas été indiquée comme élément.

PINCZON DU SEL, Rapport de la marine nationale, 1947, SHD, Cherbourg
| Nom du site : La Bouloir |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Schartenstand |
| Typologie : Regelbau 631 |
| Descripteur : Casemate d’artillerie |
Casemate de flanquement pour canon tchèque de 4,7 cm avec mitrailleuse située sur le flanc gauche du site. Placées en hauteur par rapport à la plage, les armes pouvaient couvrir l’estran à l’ouest de Villerville. L’ouvrage se compose d’une chambre de tir, d’une chambre de troupe, d’une soute à munitions, d’un sas, d’une caponnière et d’un tobrouk. L’inventaire de la Marine et des témoignages indiquent qu’une galerie part aussi de l’ouvrage. Elle rejoindrait des abris enterrés et une autre position de tir plus en arrière. Actuellement, la casemate se situe sur une parcelle privée. La végétation en cache une partie. Selon les témoignages, la galerie est inondée.

| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : |
Dans le cadre de la fortication des côtes du Calvados, les Allemands avaient implantés un grand nombre de positions de tir et de sites défensifs dans le secteur de Trouville. Ce site correspond à celui numéroté"Trou10" était composé de deux tobrouks, d'un encuvement pour canon 5cm KwK L/60 et d'une galerie souterraine reliant une casemate R.631 à la digue. L'entrée de ce souterrain au niveau de la digue est connue et localisée mais le reste de son emprise ainsi que l'emplacement de la casemate demeurent inconnus.

| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Plateforme d’artillerie |
La digue avait été fortifiée par les Allemands afin de défendre les accès à Villerville. Ainsi, un canon de type L/60 (50mm) avait été implanté à l'extrémité est de la digue. Aujourd'hui, il ne reste plus de traces visibles mais un aménagement avait sans doute été réalisé afin de fixer la pièce d'artillerie.



| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Tobrouk |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Tobrouk implanté par les Allemands à l'extrémité ouest de ce site. Il semble avoir été détruit très rapidement après la guerre lors de la réfection de la digue.

| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Tobrouk |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Tobrouk implanté par les Allemands à l'extrémité sud-est de ce site. Il a été partiellement intégré au mur de clôture d'une habitation mais est toujours visible aujourd'hui.


| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Galerie souterraine |
Cet ouvrage correspondrait à l'entrée d'un souterrain construit par les Allemands et qui se dirigerait vers l'est de la commune. D'après des photographies trouvées sur internet, ce souterrain existe toujours et semble être en bon état bien que partiellement inondé. Il mènerait à une casemate R.631.
