| Nom du site : La Guerre |
| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : SAINT-CÔME-DE-FRESNE | Lieu-dit : La Guerre |
Petit nid de résistance allemand construit a l'extrémité ouest de la digue du front de mer d'Asnelles - Saint-Côme-de-Fresné. Ce dernier s'inscrivait dans le prolongement des villas du front de mer. Le point d'appui se composait d'un encuvement couvert qui abritait un canon de 50mm, d'une cuve pour mortier, de deux abris de construction légère pour loger le personnel, d'un tobrouk pour mitrailleuse et d'une petite casemate à deux embrasures destinée à protéger les arrières de la position. Un mur anti char parallèle à la digue complétait ce dispositif et faisait la jonction entre le point d'appui et les villas. L'objectif de cette position était la défense rapprochée du littoral compris entre les falaises de Saint-Côme-de-Fresné et le rivage d'Asnelles. Le 6 juin 1944, ce point d'appui se trouvait hors du secteur de débarquement GOLD. La position a été réduite au silence dans l'après-midi par les troupes britanniques de la 50è DI débarquées le matin. Aujourd'hui, la forte urbanisation du secteur a gommé une partie des éléments qui composait le site. Deux ouvrages se trouvent maintenant sur une propriété privée.


PINCZON DU SEL, Rapport de la marine nationale, 1947, SHD, Cherbourg, livre III, Fascicule I, Chapitre V, De la Seulles à Port en Bessin, page(s) : 82
PINCZON DU SEL, Rapport de la marine nationale, 1947, SHD, Cherbourg, Boite 17, Déclassement et transformation des ouvrages allemands, Calvados n°20 Saint Côme de Fresné 1949
CHAZETTE Alain, LEMONNIER Cédric, DAVID Benjamin, Atlantikwall. Gold - Juno - Sword, Vertou, Editions Histoire & Fortifications, 2013, page(s) : 91
CHAZETTE Alain, Atlantikwall. Mythe ou Réalité, Vertou, Editions Histoire et Fortifications, 2008, page(s) : 210
BENAMOU Jean-Pierre, Gold Beach – Normandie 1944. Album Souvenir, Editions OREP, Cully, 2004, page(s) : 24
SAUNDERS Tim, Gold Beach – Jig sector and West, June 1944, Pen & Sword Books Ltd, Barnsley, 2002, page(s) : 96 à 100
| Nom du site : La Guerre |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Ringstand |
| Descripteur : Encuvement d’artillerie |
Ringstand construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet encuvement a été modifié par l'ajout d'un épais mur sur le coté exposé à la mer et une dalle de couverture. Une petite niche à munitions fermant avec deux portes en béton a également été ajoutée sur le coté de l'ouvrage. En 1944, un canon de 50 mm type KwK L/60 se trouvait dans cet encuvement. Le stockage des obus était assuré par 4 petites niches aménagées dans les parois de l'encuvement. Aujourd'hui le canon n'est plus présent. Quelques impacts sont visibles sur l'encuvement mais cet élément reste en très bon état.









| Nom du site : La Guerre |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Tobrouk |
| Typologie : Ic |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Ringstand type Ic pour mortier construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément se compose d'une chambre de tir et d'une petite pièce attenante servant au stockage de munitions. En 1944, un mortier de 50 mm modèle le.Gr.W.36 équipait cet encuvement. Aujourd'hui, cet élément se situe sur une propriété privée et est en parfait état de conservation.




| Nom du site : La Guerre |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : MG. SCHARTENSTAND |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Petite casemate à créneaux pour arme automatique construite en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément de défense rapprochée couvrait la partie sud du nid de résistance. Il se compose d'une unique salle étroite disposant de 2 créneaux de tir et d'un couloir d'accès à deux entrée. Aujourd'hui cet élément se situe sur une propriété privée et reste en bon état malgré une végétation envahissante.



| Nom du site : La Guerre |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Tobrouk |
| Typologie : Bf. 58c |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Tobrouk construit en béton à partir d'un coffrage en bois. Cet élément de défense rapprochée se compose d'un poste de tir ou d'observation et d'un petit couloir d'accès pouvant faire office de lieu de stockage de munitions. Ce tobrouk servait à la défense rapprochée du nid de résistance. Cet élément situé sur la digue n'existe plus aujourd'hui, il a été détruit lors de l'aménagement du front de mer après guerre.
| Nom du site : La Guerre |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Unterstand |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri léger construit en béton armé servant au cantonnement des soldats du nid de résistance. Cet élément qui devait se composer d'une unique pièce n'existe plus aujourd'hui. Il se situait sur une propriété privée et sa destruction fut demandée dans les années qui suivirent la fin de la guerre. Il n'en reste plus rien à l'heure actuelle.
| Nom du site : La Guerre |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Unterstand |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri léger construit en béton armé servant au cantonnement des soldats du nid de résistance. Cet élément qui devait se composer d'une unique pièce n'existe plus aujourd'hui. Un petit bloc bétonné dont la fonction est incertaine se trouvait lié à cet abri. Il se situait sur une propriété privée et sa destruction fut demandée dans les années qui suivirent la fin de la guerre. Il n'en reste plus rien à l'heure actuelle.
| Nom du site : La Guerre |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Panzermauer |
| Descripteur : Obstacle (mur antichar) |
Mur antichar construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet épais mur long de près de 80 mètres barrait l'accès à une cale qui permettait de descendre sur la plage. Ce mur arrondi au sommet était surmonté de piquets métalliques et de barbelés. Il fut coupait en deux après guerre pour libérer l'accès à la cale et fut totalement détruit au début des années 1960. Il n'en reste plus aucune trace aujourd'hui, des habitations l'ont remplacé.
| Nom du site : La Guerre |
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Petit poste de combat rapproché probablement réalisé en béton armé et assurant la défense rapprochée du nid de résistance. Cet élément était situé à l'angle sud est du site et couvrait la route côtière qui traverse le Hamel. Cet élément n'est plus visible aujourd'hui. Il a disparu sous des constructions récentes.
| Nom du site : La piste anglaise |
| Type de site : 1 - Infrastructure de transports terrestres | Commune : SAINT-CÔME-DE-FRESNE | Lieu-dit : La Fontaine Saint-Côme |
Rare vestige construit en béton témoignant de la logistique mise en place par les troupes alliées en juin 1944. Pendant la période de fonctionnement du port artificiel d'Arromanches, les troupes britanniques doivent impérativement lutter contre le temps. Le succès des opérations sur le front dépend principalement du ravitaillement en armes, munitions, carburant et véhicules. Il est donc impératif que les véhicules débarqués sur la plage puissent rejoindre au plus vite la première ligne. Afin de faciliter l'évacuation des véhicules lourds, le Génie britannique a décidé de construire une piste en béton armé dans le prolongement de la chaussée flottante aboutissant sur la plage de Saint-Côme-de-Fresné. Cette piste qui gravit le pente permettait d'éviter les enlisements et ainsi l'engorgement sur la plage. Longue de plus de cinquante mètres et large de près de sept mètres, la piste a permis le transfert de milliers de tonnes de matériel. A l'heure actuelle, la piste est toujours visible et sert encore d'accès à la plage.

| Nom du site : La piste anglaise |
| Type de site : 1 - Infrastructure de transports terrestres |
| Descripteur : Route |
Piste réalisée en béton armé et permettant à des véhicules d'évacuer la plage de Saint-Côme-de-Fresné. Cet élément mesurant près de 50 mètres de long a été construit par le génie britannique en même temps que le port artificiel d'Arromanches. Une des jetées flottantes du port aboutissait juste en face de la piste. La piste facilitait donc le transfert des véhicules vers l'intérieur des terres. Elle évitait surtout aux véhicules de s'enliser et de patiner dans la pente. Des rainures parallèles à la plage tracées dans le béton frais rendaient la piste antidérapante. Des centaines de véhicules ont donc transité par cette piste. A l'heure actuelle, la piste existe toujours et est encore utilisée. Elle demeure en très bon état.










| Type de site : 1 - Infrastructure d’approvisionnement en eau | Commune : | Lieu-dit : Le Buhot |
En préparation du débarquement des troupes alliées, les géologues et géographes anglais de l'Inter Service Topographic Department (travaux de J. D. Bernal, William B. R. King et Fred W. Shotton) ont mis en place une planification rigoureuse de l'alimentation en eau des troupes engagées sur la côte normande (Bigot, 1947 ; Rose et Pareyn, 2003 ; Tixier, 2014). Dans un premier temps, des réservoirs et des bidons d'eau ont été remplis en Angleterre et acheminés par les bateaux des Water Transport Companies pour le ravitaillement des troupes d'assaut et par ceux des Port Operating companies qui desservaient les ports artificiels.Pour l'implantation des forages, il a été fait appel aux cartes géologiques des côtes du Calvados établies par Alexandre Bigot, qui fut doyen de la faculté des Sciences de Caen de 1907 à 1927 (ce qui n'aurait rien à voir avec les fameuses cartes utilisées par les troupes du débarquement et classifiées BIGOT, dont on ne connaît pas précisément l'origine (probablement l'acronyme British Invasion of German Occupied Territories). Au total, une cinquantaine de points d'eau s'étalent dans la zone comprise entre les plages de Juno et Sword. Les puits communaux et les cours d’eau sont également largement mis à contribution. Destinés à compléter les ressources locales existantes (puits, fontaines, rivières), les forages ont été implantés à proximité des camps militaires et des aérodromes afin de pouvoir arroser régulièrement les pistes, seule méthode efficace pour empêcher que la poussière des limons de la Plaine de Caen et du Bessin ne vienne encrasser les moteurs des avions. De même, des stations de pompage ont été construites en un temps record au bord des cours d’eau. Ces ouvrages sont tout à fait remarquables car ils constituent l’un des très rares patrimoines construits par les troupes alliées durant la Seconde Guerre mondiale. Le seul forage britannique réalisé par le génie britannique en dehors des trois départements de l’ex-Basse-Normandie a eu lieu à Cormeilles dans le département de l’Eure). Plusieurs comptes-rendus d’excursions organisées par des géologues britanniques fournissent des informations intéressantes. Un ouvrage, à l’origine publié par Philippe Baudouin et ré-édité aux éditions OREP sur l’initiative de l’Agence de l’Eau constitue une bonne base et permet de mesurer l’enjeu qu’a constitué l’approvisionnement en eau durant le Débarquement pour les troupes alliées. Il y est notamment question des 33 forages de la 8ème section de forage des Royal Engineers sous la direction du lieutenant Alexander Kerr Pringle de juin à août 1944. Des données sur la date des forages existent dans la base des points d’eau figurant sur le site du BRGM Infoterre. Une extraction de cette base a permis d’identifier 44 points d’eau aménagés entre 1940 et 1945. Ces données sont toutefois à manier avec prudence car les dates fournies doivent être filtrées. La colonne « Fin des travaux » précise le jour précis alors que visiblement cette donnée n’était pas disponible. Ainsi pour l’année 1944, le 1er janvier 1944 représente la grande majorité des dates enregistrées.Il nous faut donc seulement prendre en compte l’année, dans certains cas le mois lorsque les mois de juillet, août, septembre ou novembre 1944 sont mentionnés (dans 10 cas) : 1 en juillet, 5 en août, 3 en septembre et 1 en novembre. Dans la base Infoterre, 14 points d’eau portent une année antérieure à 1944. Sept points d’eau porte la date de l’année 1940. Il s’agit pour la plupart de puits et d’un site minier (Mortain). Dans le cas du seul forage de Colleville-Montgomery, la mention de cette date semble douteuse, puisqu’un forage anglais y est effectué en 1940. Un puits est mentionné pour l’année 1941, 3 pour l’année 1942 (dont 1 forage à Lisieux), et 3 en 1943 (dont un forage à Bernières-sur-Mer. Ces puits et forages réalisés antérieurement à 1944 dans un cadre non militaire n’ont donc pas été pris en compte ici. Une collaboration a été engagée avec l’association Le Dit-de-l’Eau, dont l’objectif est la valorisation du patrimoine de l’eau. Cette association a effectué un gros travail d’inventaire de ces installations et elle a collecté de nombreux archives à ce sujet, en particulier en Angleterre. Signalons également qu’à Vaucelles (14) non loin du château, il reste un bac en ciment qui est aujourd'hui envahi par la végétation. Ce bac servait au lavage des toiles de tentes du campement britannique qui était basé à cet endroit. Il figure dans la liste Bigot 1947, mais il est difficile de le localiser compte tenu des travaux colossaux qui ont été effectués dans ce secteur pour l’aménagement du camp. Pour compléter ce dispositif, un grand réservoir d'eau a été aménagé sur la Gronde entre Coulombs et Lantheuil (non localisé).
| Type de site : 1 - Infrastructure d’approvisionnement en eau |
| Descripteur : Forage ou captage d’eau |
Forage anglais vu par S. Quillet (association"Le Dit de l’Eau"). Une date est mentionnée pour le Buhot 2 sur Infoterre en août 1944 et localisé à Arromanches dans la liste Bigot de 1947.
| Type de site : 1 - Position de tir | Commune : | Lieu-dit : La fontaine Saint-Côme |
Nid de résistance implanté à flanc de colline au dessus de l'église de Saint-Côme-de-Fresné et destiné à la défense rapprochée du rivage. La position bénéficie d'un impressionnant point de vue et très tôt les forces allemandes décidèrent d'y installer deux cannons de 75mm sur des plateformes à ciel ouvert. A partir de février 1944, deux casemates sont construites. L'un des deux canons de 75mm y sera placé tandis qu'un canon de 88mm viendra prendre place dans l'autre casemate. Le second canon de 75mm reste sur l'une des deux plateformes. Le système défensif est complété par plusieurs tobrouks équipés de mitrailleuses. La garnison du site loge dans cinq abris enterrés. Enfin, quelques soutes à munitions assurent une certaine autonomie à la position. Le 6juin 1944, la position, bien que lourdement équipée, ne semble pas avoir causé de lourds dégâts aux troupes débarquées. Elle sera neutralisée par les soldats de la 50è Division d'Infanterie britannique. Le site du Wn 39 est coupé en deux par la route côtière, créée entre 1965 et 1967 et reliant Asnelles à Arromanches. Aujourd'hui, une partie des éléments est toujours visible entre les habitations construites après guerre.


| Type de site : 1 - Position de tir |
| Typologie : Regelbau 677 |
| Descripteur : Casemate d’artillerie |
Casemate type R.677 construite en parpaings et en béton armé. Cet élément se compose d'une chambre de tir et de deux soutes à munitions disposées de part et d'autred'un couloir d'accès. L'embrasure est orientée vers l'est. En 1944, un canon de 88mm Pak 43/41 prenait en enfilade toute la plage s'étendant devant Asnelles. Après la fin de la guerre, cette casemate fut réutilisée et transformée en lieu de stockage, jusqu'à aujourd'hui. A l'heure actuelle, la casemate est noyée dans les habitations mais reste en bon état de conservation.





| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Tobrouk |
| Typologie : lc 116 |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Tobrouk construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément de défense rapprochée se compose d'un poste de tir ou d'observation et d'un petit couloir d'accès pouvant faire office de lieu de stockage de munitions. L'entrée est protégée par un muret en béton armé. Ce tobrouk était équipé d'une mitrailleuse placée sur pivot et servait à la défense rapprochée du site. Cet élément est toujours visible aujourd'hui mais il a été recouvert par une terrasse et sert désormais de soubassement.




| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Unterstand |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri léger construit en béton armé et servant au cantonnement des soldats de ce site. Cet élément se situe à proximité immédiate d'une des deux casemates. Il a été transformé après guerre en lieu de stockage jusqu'à aujourd'hui. Il faut noter que le mur de façade présente un aspect rugueux qui rappelle celui de la roche, peut-être à des fins de camouflage.



| Type de site : 1 - Position de tir |
| Typologie : Regelbau 612 |
| Descripteur : Casemate d’artillerie |
Casemate type R.612 construite en parpaings et en béton armé. Cet élément se compose d'une chambre de tir et de deux soutes à munitions disposées de part et d'autred'un couloir d'accès. L'embrasure est orientée vers l'est. En 1944, un canon de 88mm Pak 43/41 prenait en enfilade toute la plage s'étendant devant Asnelles. A l'heure actuelle, la casemate est à l'abandon dans un herbage. Elle est en partie remblayée mais demeure dans un état correct.










| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Unterstand |
| Descripteur : Abri pour personnels |
Abri léger construit en béton armé et tôles ondulées dites"métro". Cet élément dispose de deux grandes pièces, d'un couloir et de trois escaliers d'accès. Une sortie de secours prenant la forme d'une cheminée est également présente. Il servait au cantonnement des soldats de ce site et se trouve sur le point le plus élevé du site. Aujourd'hui, l'abri se trouve dans un champ cultivé et est en bon état. Des fresques, peintes à priori après la guerre, sont observables à l'intérieur.




















| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Munitionsbunker |
| Descripteur : Soute à munitions |
Soute à munitions construite en béton armé et servant au stockage des munitions.Cet élément ne devait certainement comporter qu'une unique pièce. Il a été entièrement remblayé lors de la remise en culture de la parcelle, l'entrée était encore visible jusqu'en 1978. Elle est maintenant totalement recouverte.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Geschützstellung |
| Descripteur : Plateforme d’artillerie |
Plateforme circulaire en béton armé servant à positionner une pièce d'artillerie. Cet élément accueillait un canon de 75mm modèle F.K.38 avant la construction des casemates. Cette plateforme se trouve désormais dans un herbage mais a été entièrement remblayée juste après la fin de la guerre. Plus rien n'est visible aujourd'hui.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Tobrouk |
| Typologie : lc 116 |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Tobrouk construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément de défense rapprochée se compose d'un poste de tir ou d'observation et d'un petit couloir d'accès pouvant faire office de lieu de stockage de munitions. Ce tobrouk était équipé d'une mitrailleuse placée sur pivot et servait à la défense rapprochée da la partie haute du nid de résistance. Cet élément n'est plus visible aujourd'hui : il a été remblayé après guerre et la construction d'une maison d'habitation dans les années 1970 l'a fait totalement disparaître du paysage.
| Type de site : 1 - Position de tir |
| Nom codifié d'origine : Tobrouk |
| Typologie : lc 116 |
| Descripteur : Élément de défense rapprochée |
Tobrouk construit en béton armé à partir d'un coffrage en bois. Cet élément de défense rapprochée se compose d'un poste de tir ou d'observation et d'un petit couloir d'accès pouvant faire office de lieu de stockage de munitions. Ce tobrouk placé au sud de la position défendait l'accès au site depuis le plateau. Cet élément n'est plus visible aujourd'hui : il a été remblayé lors de l'aménagement des limites d'une propriété privée en 2015.